Poème dédié aux enfants Syriens

Azul Felawen,

Les larmes d'une plume par la souffrance, son cœur est lourd telle une enclume,
Laquelle dans ma pensée est figée, comme un souhait en attente dans ce monde abrégé,
Telle une lettre d’un brun d’amour, dans une bouteille jetée à la mer,
Avec l'espoir qu'elle ne soit pas trouvée par un être vivant sur cette terre,
J’ai peur qu’elle le transforme en un mensonge, une occasion de faire la guerre,
Car ceux qui règnent aujourd’hui ne sont plus humains,
Je pense qu'à partir de ce jour, il faut les appeler aliens.
Mokrane ait lounes