Plusieurs vols annulés

Une grève surprise du personnel de la compagnie aérienne nationale, Tassili Airlines, a été observée, dimanche, en début de journée, à l'aéroport international Houari-Boumediene, provoquant ainsi des perturbations dans ses vols.Une grève surprise du personnel de la compagnie aérienne nationale, Tassili Airlines, a été observée, dimanche, en début de journée, à l'aéroport international Houari-Boumediene, provoquant ainsi des perturbations dans ses vols.
En effet, l'entame de ce mouvement de grève a contraint la compagnie à annuler au moins une dizaine de vols nationaux et internationaux. Les avions de Tassili Airlines sont restés cloués au sol, en attendant la satisfaction de leurs revendications. Ce qui n'a pas manqué de créer une pagaille indescriptible et de susciter la colère des passagers, pris en otage par cette grève surprise. Certains étaient sur place depuis les premières heures de la journée dans l'espoir de trouver une place pour gagner leurs destinations. La négligence de la direction envers ses clients engendre souvent une anarchie.
La considération, le civisme et même le professionnalisme semblent en grève eux- aussi. Personne n'est en mesure de donner des informations sur cette situation pour calmer ces passagers ! Les mouvements de protestation sont devenus habituels dans tous les secteurs socioéconomiques et dans toutes les régions du pays. Depuis plusieurs mois, il ne se passe plus une semaine sans qu'une manifestation de colère ou de mécontentement ne soit observée. Cette fois-ci encore, c'est le personnel aérien qui revient à la charge, lequel concerne de plus en plus de secteurs d'activité.
C'est pour dénoncer "un dialogue de sourd" que ces derniers maintiennent leur mouvement pour exiger la prise en charge de leurs revendications socioprofessionnelles déjà exprimées il y a plusieurs jours avec également e recours à une grève surprise. Ils reprochent à la direction de leur compagnie le non respect de certaines clauses de la convention collective. Après des grèves observées de temps à autres pour exprimer leurs revendications, ils sont passés à un débrayage cyclique qui ne dit pas son nom. L'échec du dialogue entre grévistes qui ne cèdent pas et tutelle qui ne répond pas semble aggraver la situation davantage. Les protestataires semblent durcir le ton, jusqu'à la prise en chargetotale de leurs revendications.
C'est un dialogue constructif et franc et des solutions concrètes, qui s'imposent pour faire reculer cette masse importante de travailleurs de la décisiond'une grève illimité pénalisant l'économie nationale en particulier, avant de citer le citoyen qui souffre le martyre, devenant ainsi la proie de tout mouvement.
En effet, l'entame de ce mouvement de grève a contraint la compagnie à annuler au moins une dizaine de vols nationaux et internationaux. Les avions de Tassili Airlines sont restés cloués au sol, en attendant la satisfaction de leurs revendications. Ce qui n'a pas manqué de créer une pagaille indescriptible et de susciter la colère des passagers, pris en otage par cette grève surprise. Certains étaient sur place depuis les premières heures de la journée dans l'espoir de trouver une place pour gagner leurs destinations. La négligence de la direction envers ses clients engendre souvent une anarchie.
La considération, le civisme et même le professionnalisme semblent en grève eux- aussi. Personne n'est en mesure de donner des informations sur cette situation pour calmer ces passagers ! Les mouvements de protestation sont devenus habituels dans tous les secteurs socioéconomiques et dans toutes les régions du pays. Depuis plusieurs mois, il ne se passe plus une semaine sans qu'une manifestation de colère ou de mécontentement ne soit observée. Cette fois-ci encore, c'est le personnel aérien qui revient à la charge, lequel concerne de plus en plus de secteurs d'activité.
C'est pour dénoncer "un dialogue de sourd" que ces derniers maintiennent leur mouvement pour exiger la prise en charge de leurs revendications socioprofessionnelles déjà exprimées il y a plusieurs jours avec également e recours à une grève surprise. Ils reprochent à la direction de leur compagnie le non respect de certaines clauses de la convention collective. Après des grèves observées de temps à autres pour exprimer leurs revendications, ils sont passés à un débrayage cyclique qui ne dit pas son nom. L'échec du dialogue entre grévistes qui ne cèdent pas et tutelle qui ne répond pas semble aggraver la situation davantage. Les protestataires semblent durcir le ton, jusqu'à la prise en chargetotale de leurs revendications.
C'est un dialogue constructif et franc et des solutions concrètes, qui s'imposent pour faire reculer cette masse importante de travailleurs de la décisiond'une grève illimité pénalisant l'économie nationale en particulier, avant de citer le citoyen qui souffre le martyre, devenant ainsi la proie de tout mouvement.