Algérie

Plus de 9.500 femmes en détresse



La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Ghania Eddalia, a affirmé jeudi à Alger, que 9.526 femmes en détresse ont été prises en charge durant l'année en cours au niveau des établissements spécialisés relevant de la Solidarité nationale.La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Ghania Eddalia, a affirmé jeudi à Alger, que 9.526 femmes en détresse ont été prises en charge durant l'année en cours au niveau des établissements spécialisés relevant de la Solidarité nationale.
Présidant une rencontre à l'occasion de la journée internationale de lutte contre la violence à l'égard des femmes qui coïncide avec le 25 novembre de chaque année, la ministre a évoqué les programmes et mesures arrêtés pour la prise en charge des femmes en détresse (victimes de conditions sociales, économiques ou de violence), précisant que le secteur dispose de trois établissements "Diar Errahma" dans les wilayas d'Alger, Constantine et Oran et leurs annexes, qui ont pour mission d'accueillir et d'accompagner les femmes en détresse, outre huit centres spécialisés pour la protection et la prise en charge pédagogique des filles de moins de 18 ans ainsi que 34 foyers pour personnes âgées.
Soulignant l'intérêt particulier accordé par son département à la bonne prise en charge de cette catégorie, Mme. Eddalia a fait état de l'existence de "plus de 467 intervenants spécialisés en écoute, orientation, accompagnement et réinsertion" en plus de "269 cellules de proximité destinées aux personnes vulnérables et familles pauvres". La ministre a mis en avant également l'élaboration d'un programme spécifique aux dispositifs d'aide et d'accompagnement des familles notamment défavorisées ou en détresse à travers 251 espaces d'accueil, d'écoute, d'orientation et d'accompagnement, encadrés par 759 intervenants spécialisés, ainsi que d'autres mécanismes et dispositifs au niveau des Directions de l'action sociale et de solidarité des wilayas.
Pour une meilleure prise en charge des femmes violentées et en détresse, Mme Eddalia a annoncé l'élaboration de la nouvelle stratégie nationale de prévention et de lutte contre la violence "qui s'adapte aux exigences actuelles", soulignant qu'en 2017, un article a été introduit sur les mécanismes d'écoute, d'accompagnement, et de prise n charge des femmes victimes de violences et de leurs enfants au sein du programme de formation des étudiants des centres nationaux de formation des fonctionnaires spécialisés dans les professionsà caractère social.
A cet égard, la ministre a rappelé la création d'un mécanisme d'alerte sur les violences à l'égard des femmes et des jeunes filles, à travers l'ouverturedu numéro vert 27-15 au niveau des directions de l'action sociale et de la solidarité de chaque wilaya. Après avoir salué le rôle de la société civile dans ce domaine, Mme Eddalia a fait part de l'existencede centres d'accueil et de prise en charge desfemmes et jeunes filles en détresse, gérés par des associations activant dans le domaine de la protection et de la promotion de la femme, estiméesà 358.
Présidant une rencontre à l'occasion de la journée internationale de lutte contre la violence à l'égard des femmes qui coïncide avec le 25 novembre de chaque année, la ministre a évoqué les programmes et mesures arrêtés pour la prise en charge des femmes en détresse (victimes de conditions sociales, économiques ou de violence), précisant que le secteur dispose de trois établissements "Diar Errahma" dans les wilayas d'Alger, Constantine et Oran et leurs annexes, qui ont pour mission d'accueillir et d'accompagner les femmes en détresse, outre huit centres spécialisés pour la protection et la prise en charge pédagogique des filles de moins de 18 ans ainsi que 34 foyers pour personnes âgées.
Soulignant l'intérêt particulier accordé par son département à la bonne prise en charge de cette catégorie, Mme. Eddalia a fait état de l'existence de "plus de 467 intervenants spécialisés en écoute, orientation, accompagnement et réinsertion" en plus de "269 cellules de proximité destinées aux personnes vulnérables et familles pauvres". La ministre a mis en avant également l'élaboration d'un programme spécifique aux dispositifs d'aide et d'accompagnement des familles notamment défavorisées ou en détresse à travers 251 espaces d'accueil, d'écoute, d'orientation et d'accompagnement, encadrés par 759 intervenants spécialisés, ainsi que d'autres mécanismes et dispositifs au niveau des Directions de l'action sociale et de solidarité des wilayas.
Pour une meilleure prise en charge des femmes violentées et en détresse, Mme Eddalia a annoncé l'élaboration de la nouvelle stratégie nationale de prévention et de lutte contre la violence "qui s'adapte aux exigences actuelles", soulignant qu'en 2017, un article a été introduit sur les mécanismes d'écoute, d'accompagnement, et de prise n charge des femmes victimes de violences et de leurs enfants au sein du programme de formation des étudiants des centres nationaux de formation des fonctionnaires spécialisés dans les professionsà caractère social.
A cet égard, la ministre a rappelé la création d'un mécanisme d'alerte sur les violences à l'égard des femmes et des jeunes filles, à travers l'ouverturedu numéro vert 27-15 au niveau des directions de l'action sociale et de la solidarité de chaque wilaya. Après avoir salué le rôle de la société civile dans ce domaine, Mme Eddalia a fait part de l'existencede centres d'accueil et de prise en charge desfemmes et jeunes filles en détresse, gérés par des associations activant dans le domaine de la protection et de la promotion de la femme, estiméesà 358.


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