«Nous nous réassurons à l'étranger parce que nos capacités (celles des quatre compagnies) ne sont pas importantes», a noté le responsable de la CASH, chef de file du consortium d'assureurs algériens, lors d'un séminaire sur «Les risques énergie» auquel ont participé des réassureurs internationaux.
L'importance de la réassurance réside dans le fait qu'elle constitue «un placement et non pas un simple transfert d'argent», selon M. Saïs, qui précise que «le risque Sonatrach est actuellement réassuré par une vingtaine, voire une trentaine de réassureurs internationaux».
Après l'incident qui a touché le complexe pétrochimique de Skikda en 2004, les assureurs algériens ont «pu récupérer de l'étranger (réassureurs) 500 millions de dollars, soit l'équivalent de 30 ans de primes d'assurances versées par Sonatrach», a-t-il souligné. Afin de couvrir son patrimoine industriel et sa responsabilité civile, Sonatrach avait signé des contrats de 32 millions de dollars pour l'exercice 2009-2010 avec le consortium public composé de la CASH, la Compagnie algérienne d'assurances et de réassurance (CAAR), la Compagnie algérienne des assurances transports (CAAT) et la Compagnie centrale de réassurances (CCR).
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Posté Le : 30/11/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : r. e
Source : www.elwatan.com