Algérie

Plus de 50 hectares de terrains récupérés à Alger


Plus de 50 hectares de terrains récupérés à Alger
La démolition du vieux bâti et l'éradication des bidonvilles a permis, depuis le mois de juin dernier, la récupération de plus de 50 hectares de terrain dans la capitale, a indiqué le chargé d'études et de synthèses au niveau de la wilaya d'Alger, Smaïl Mohamed.La démolition du vieux bâti et l'éradication des bidonvilles a permis, depuis le mois de juin dernier, la récupération de plus de 50 hectares de terrain dans la capitale, a indiqué le chargé d'études et de synthèses au niveau de la wilaya d'Alger, Smaïl Mohamed."Les assiettes foncières dégagées à la faveur de l'éradication, après le relogement des familles habitant les immeubles menaçant ruine et les bidonvilles, a permis de récupérer depuis le 19 juin dernier, 52 hectares de terrain dans la capitale", a précisé M. Smaïl dans une déclaration à l'APS.Il a expliqué, à ce propos, que ces assiettes foncières, libérées notamment à El- Harrach, Hussein Dey, Birkhadem, Oud Koriche, Raïs Hamidou, Bologhine, Bab- El-Oued. seront exploitées dans divers projets, notamment le logement. "Nous avons prévu des projets de logements et d'équipements publics sur les terrains évacués après avoir rasé les chalets et les bidonvilles qui ceinturent anarchiquement la capitale", a noté M. Smaïl qui coordonne également la cellule d'expertise, installée au niveau de la wilaya, au lendemain du séisme qui a frappé la capitale vendredi dernierr apporte l'APS.Afin de faire barrage aux indus occupants, les autorités locales, contrairement aux années précédentes, procèdent à la démolition de ces immeubles et des bidonvilles, une fois que les derniers habitants quittent les lieux, ce qui a permis la récupération de ces espaces. Parmi les projets déjà inscrits ou relancés, on cite le stade communal de Birkhadem, la ligne ferroviaire Zéralda- Birtouta ainsi que le nouveau siège du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, qui sera réalisé à la Côte-Rouge à El Makaria, Hussein Dey.Pour les terrains évacués à l'intérieur de la ville d'Alger, qu'ils soient privés ou publics, leur destinée est tributaire de leur "nature juridique et des projets prévus", a expliqué le responsable. La wilaya d'Alger, qui a lancé depuis 2010 une vaste opération de relogement, dans le cadre de la lutte contre l'habitat précaire et la mise en oeuvre de son plan de modernisation de la capitale, a été contrainte, après le séisme qui a secoué vendredi dernier la capitale et sa périphérie, d'accélérer la cadence.Près de 800 familles ont été relogées depuis vendredi dont 424 familles d'El-Hamiz (Dar El-Beïda), 58 autres de Bab El-Oued et 79 issues de La Casbah. Pour les immeubles de La Casbah, qui ont subi des effondrements partiels, des équipes d'architectes mènent une opération d'expertise afin de déterminer les dégâts du séisme avant de lancer, exceptionnellement, des travaux de restauration de cette vielle cité, classée par l'Unesco patrimoine mondial sauvegardé. Interrogé, dans le même sillage, sur le sort des terrains évacués à El Hamma après l'éradication de plusieurs immeubles vétustes, M. Smaïl a expliqué que c'est le Plan directeur d'aménagement et d'urbanisme (PDAU) qui détermine le plan d'occupation du sol et définit l'extension urbaine et la nature et l'implantation des projets."Les assiettes foncières dégagées à la faveur de l'éradication, après le relogement des familles habitant les immeubles menaçant ruine et les bidonvilles, a permis de récupérer depuis le 19 juin dernier, 52 hectares de terrain dans la capitale", a précisé M. Smaïl dans une déclaration à l'APS.Il a expliqué, à ce propos, que ces assiettes foncières, libérées notamment à El- Harrach, Hussein Dey, Birkhadem, Oud Koriche, Raïs Hamidou, Bologhine, Bab- El-Oued. seront exploitées dans divers projets, notamment le logement. "Nous avons prévu des projets de logements et d'équipements publics sur les terrains évacués après avoir rasé les chalets et les bidonvilles qui ceinturent anarchiquement la capitale", a noté M. Smaïl qui coordonne également la cellule d'expertise, installée au niveau de la wilaya, au lendemain du séisme qui a frappé la capitale vendredi dernierr apporte l'APS.Afin de faire barrage aux indus occupants, les autorités locales, contrairement aux années précédentes, procèdent à la démolition de ces immeubles et des bidonvilles, une fois que les derniers habitants quittent les lieux, ce qui a permis la récupération de ces espaces. Parmi les projets déjà inscrits ou relancés, on cite le stade communal de Birkhadem, la ligne ferroviaire Zéralda- Birtouta ainsi que le nouveau siège du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, qui sera réalisé à la Côte-Rouge à El Makaria, Hussein Dey.Pour les terrains évacués à l'intérieur de la ville d'Alger, qu'ils soient privés ou publics, leur destinée est tributaire de leur "nature juridique et des projets prévus", a expliqué le responsable. La wilaya d'Alger, qui a lancé depuis 2010 une vaste opération de relogement, dans le cadre de la lutte contre l'habitat précaire et la mise en oeuvre de son plan de modernisation de la capitale, a été contrainte, après le séisme qui a secoué vendredi dernier la capitale et sa périphérie, d'accélérer la cadence.Près de 800 familles ont été relogées depuis vendredi dont 424 familles d'El-Hamiz (Dar El-Beïda), 58 autres de Bab El-Oued et 79 issues de La Casbah. Pour les immeubles de La Casbah, qui ont subi des effondrements partiels, des équipes d'architectes mènent une opération d'expertise afin de déterminer les dégâts du séisme avant de lancer, exceptionnellement, des travaux de restauration de cette vielle cité, classée par l'Unesco patrimoine mondial sauvegardé. Interrogé, dans le même sillage, sur le sort des terrains évacués à El Hamma après l'éradication de plusieurs immeubles vétustes, M. Smaïl a expliqué que c'est le Plan directeur d'aménagement et d'urbanisme (PDAU) qui détermine le plan d'occupation du sol et définit l'extension urbaine et la nature et l'implantation des projets.


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