Pleure ô mon enfant bien-aimé Sous la Plume

Plus de 20.000 enfants sont en danger moral ou physique. Soumis aux trafics et aux abus sexuels. Ils sont âgés entre 10 et 18 ans. La plupart sont en rupture avec leurs familles. La prostitution des filles et des garçons se banalise et constitue une source de revenus...
Plus de 20.000 enfants sont en danger moral ou physique. Soumis aux trafics et aux abus sexuels. Ils sont âgés entre 10 et 18 ans. La plupart sont en rupture avec leurs familles. La prostitution des filles et des garçons se banalise et constitue une source de revenus...
La journée du 1er juin, dédiée à l'enfant, est une date qui remonte au temps de l'ancien bloc soviétique. Dans d'autres pays, elle est célébrée à des dates différentes. L'Algérie, pour sa part, a retenu la date du 1er juin contrairement aux Nations unies qui ont recommandé la date du 20 novembre. Aujourd'hui pour ne pas dissocier les parents des enfants, l'Onu instaure le 1er juin comme Journée des parents.
On ne peut pas parler des uns sans parler des autres. Parents et enfants sont unis comme les doigts de la main. En Algérie on ne peut pas parler de l'enfant sans faire référence aux droits de l'enfant. Les enfants sont vulnérables. L'Algérie a ratifié la Convention des droits de l'enfant le 19 décembre 1992. Une ratification porteuse d'espoir pour nos enfants aujourd'hui et pour le citoyen de demain. Mais dans la pratique, les dispositions de la Charte de l'enfant sont loin d'être mises en pratique.
L'égalité des droits pour tous les enfants, qu'ils soient de filiation naturelle ou légitime, est de loin une utopie. Des enfants souffrent en silence, victimes d'inceste, d'autres nés dans la misère sont privés du droit élémentaire qu'est l'éducation et sont placés très jeunes sur le marché du travail. Plus de 20.000 enfants sont en danger moral ou physique. Soumis aux trafics et aux abus sexuels. Ils sont âgés entre 10 et 18 ans. La plupart sont en rupture avec leurs familles et pas de centres d'écoute pour leur détresse.
La prostitution des filles et des garçons se banalise et constitue une source de revenus pour les enfants. Des associations comme le réseau Nada, la Forem et SOS enfants d'Algérie activent chacune sur un volet. Le 1er juin, l'Onu rend hommage à tous ceux qui ont la lourde tâche d'élever des enfants, une journée pour valoriser le travail des parents et les devoirs qu'ils ont envers leurs enfants.
La journée du 1er juin, dédiée à l'enfant, est une date qui remonte au temps de l'ancien bloc soviétique. Dans d'autres pays, elle est célébrée à des dates différentes. L'Algérie, pour sa part, a retenu la date du 1er juin contrairement aux Nations unies qui ont recommandé la date du 20 novembre. Aujourd'hui pour ne pas dissocier les parents des enfants, l'Onu instaure le 1er juin comme Journée des parents.
On ne peut pas parler des uns sans parler des autres. Parents et enfants sont unis comme les doigts de la main. En Algérie on ne peut pas parler de l'enfant sans faire référence aux droits de l'enfant. Les enfants sont vulnérables. L'Algérie a ratifié la Convention des droits de l'enfant le 19 décembre 1992. Une ratification porteuse d'espoir pour nos enfants aujourd'hui et pour le citoyen de demain. Mais dans la pratique, les dispositions de la Charte de l'enfant sont loin d'être mises en pratique.
L'égalité des droits pour tous les enfants, qu'ils soient de filiation naturelle ou légitime, est de loin une utopie. Des enfants souffrent en silence, victimes d'inceste, d'autres nés dans la misère sont privés du droit élémentaire qu'est l'éducation et sont placés très jeunes sur le marché du travail. Plus de 20.000 enfants sont en danger moral ou physique. Soumis aux trafics et aux abus sexuels. Ils sont âgés entre 10 et 18 ans. La plupart sont en rupture avec leurs familles et pas de centres d'écoute pour leur détresse.
La prostitution des filles et des garçons se banalise et constitue une source de revenus pour les enfants. Des associations comme le réseau Nada, la Forem et SOS enfants d'Algérie activent chacune sur un volet. Le 1er juin, l'Onu rend hommage à tous ceux qui ont la lourde tâche d'élever des enfants, une journée pour valoriser le travail des parents et les devoirs qu'ils ont envers leurs enfants.