Algérie

Pleines pages : L'écrit, un retour d'écoute


Demain, déjà, une petite semaine depuis l’avènement pour 2011 du grand événement livresque national. Une manifestation d’envergure qui n’en finit pas de livrer toutes ses découvertes. Le visiteurs qui  ne se comptent plus devant leur afflux des plus important à une telle manifestation , n’en ont pas finis d’être surpris. Surpris et agréablement par l’achalandage offert à leur yeux et parfois à leur bourse ; mais encore non sans cette déception qui a aussi son lot à cette grande exposition du livre pas toujours disponible à souhait ou encore hors de portée. Et entre la satisfaction des uns et le mécontentement des autres, il y a, à voir et à lire. A écouter aussi au travers de ces conférences débats qui initient un dialogue entre écrivains et liseurs. Des débats fructueux venus de toutes les contrées du monde pour se faire une place dans l’auditoire local. Qui n’en est pas moins attentif. Ce sont des conférences qui traitent du livre, de l‘écrit,  qui tournent essentiellement autour de l’universalisme de la lecture et de l’écriture. Qui par de la problématique de la thématique, qui par la question de  l’humanisme, en passant par l’apport pédagogique ou didactique de celui qui donne à lire. Ce sont en fait des études d’érudits apportant ce plus, ce parallèle à l’acte de faire un ouvrage, de son auteur, à son éditeur en passant inconditionnellement par son lecteur. Autour des stands, des écrivains engagent des séances promotionnelles à leur livre. Des signatures accompagnées souvent de dialogue. Voilà encore un apport de ce Salon sur lequel s’engagent le destinateur vers le destinataire par la canal qui s’appelle l’édition. Là où justement, il y a beaucoup à dire, à clamer plus qu’à écrire. Un partenaire indispensable que l’éditeur. Entre celui qui propose un support et celui qui en anime le contenu, il y a eu beaucoup d’évolution depuis la fameuse défunte SNED qui a eu ce mérite d’éditer le suc des écrits sur le plan national. Aujourd’hui, le privé prend son bâton de pèlerin pour prospecter du côté des talents à faire émerger et ce n’est pas du tout ce qui manque. En plus d’aller vers la coédition qu vient à point nommé pour élargir les horizons livresques dans tous les champs d’intervention. De l’expérience en perspective à affiner afin d’aller plus loin dans cette politique du livre qui a encore de beaux jours devant elle, à condition que l’écoute soit de part et d’autres. car, de revendications  et de leçons aussi, il faut faire avec et ne pas tourner la page quand une corne ne s’est pas malencontreusement ou sciemment fait un vilain pli, impossible à éluder. 
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