Le métier de journaliste est bafoué par certains énergumènes qui n'honorent nullement la déontologie journalistique en venant sur les plateaux des chaînes de télévision verser leur venin sur des personnes intègres.Qu'ils soient footballeurs ou dirigeants c'est pareil. De quel droit se permet-on de dire des imbécilités, des idioties, des injures, des abscénités contre le président de la FAF ' Un homme qui a fait du bon boulot à la tête de l'équipe nationale algérienne réussissant deux participations à la Coupe du monde 2010 et 2014 mais qui a échoué dans les participations à la Coupe d'Afrique des nations. La question qui devrait être posée est de savoir pourquoi sommes-nous arrivés là ' Et pourquoi cet échec au Gabon ' Cela veut dire que quelque chose ne tourne pas rond au sein de la Fédération algérienne de football. La nature a horreur du vide, disait Victor Hugo, alors pourquoi ramener toujours les mêmes journalistes et les mêmes personnes sur un plateau de chaîne de télévision pour venir nous balancer leurs idioties, c'est toujours ces mêmes personnes dont les violons ne sont pas raccordés qui entravent tous les codes de la déontologie journalistique, du noble métier d'information. Ils viennent faire de la propagande, ils sont omniprésents autour d'un animateur qui lui ne recule devant rien pour tirer à bout portant sur le premier responsable de la FAF avec lequel il a une dent : le pire est cette façon de faire ! Un plateau de télévision n'a jamais été une cour de justice où chacun vient débattre de ses problèmes personnels. Le plus grave dans tout cela est le fait d'entendre et de voir des journalistes se chamailler entre eux et tout cela en direct sur un plateau télévisé : que fait le ministre de l'Information ' Pourquoi n'intervient-il pas pour faire cesser ce cinéma intolérable, insensé et qui n'a pas de sens : c'est de la diffamation pure et simple. Nul n'a le droit de porter un jugement sur tel ou tel personne, critiquer la méthode de travail c'est admissible et acceptable mais toucher à la dignité d'une personne est intolérable, il ne faut pas oublier que chacun de nous possède une famille, une petite famille, des enfants, des petits-enfants qui regardent la télévision, l'échec n'est pas d'une seule personne mais de tout le monde. Il est général alors pourquoi choisir un bouc émissaire. Certains médias profitent de chaque sortie ratée des Verts pour faire endosser l'échec aux joueurs algériens de France, les accusant de ne pas mouiller leurs maillots. L'échec total de notre football est dû aux critiques de certains médias qui se croient au dessus du lot, de certains anciens internationaux et des ex-entraîneurs reconvertis en coach (qui bénéficient d'une cagnotte financière) et aussi pourquoi ne pas dire la vérité ' Toute la vérité, rien que la vérité. Ce sont des personnages sans scrupules qui ont une dent envers la FAF, la DTN, ils ont trouvés la porte de Dély Brahim fermé... et maintenant ils se vengent parce que l'équipe nationale de football n'a pas réussi le challenge de remporter la Coupe d'Afrique des nations de 2017 au Gabon. Le ministre de la Jeunesse et des Sports s'est prononcé sur le fiasco enregistré par l'EN, pourquoi ne l'a-t-il pas fait avec le Comité olympique de M. Berraf ' Deux poids, deux mesures, c'est injuste et aussi pourquoi exiger le départ du premier responsable de la FAF alors qu'il aurait mieux fallu débattre des problèmes internes et externes et faire le pour et le contre. De toutes les façons, la FAF est une association sportive régie par une assemblée souveraine qui est la seule habilitée à demander des comptes sur ce sujet. C'est grave et même trop grave cette campagne de dénigrement, d'acharnement quotidien qu'on nous balance chaque jour, une campagne qui ne dit pas son nom mais bien orchestrée contre la Fédération algérienne de football et quelques joueurs devenus des boucs émissaires tels les Mahrez, Mandi, Ghoulam, Guedioura et autres mais parmi les joueurs les plus décriés dans le camp algérien durant cette Coupe d'Afrique des nations c'est Islam Slimani, pourquoi s'acharne- t-on sur lui, pourquoi cette campagne de dénigrement lancée contre lui ' Hier il était plébiscité, aujourd'hui critiqué. Certains ont la mémoire courte. Monsieur Hamid Grine, ministre de l'Information est interpellé pour faire cesser le cinéma de certains journalistes qui n'honorent nullement la corporation, qui en direct d'un plateau d'une chaîne télévisée se disputent, se chamaillent, s'interposent à chaque fois en disant qu'ils sont les meilleurs journalistes algériens. Alors, basta, basta s'il vous plaît.
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Posté Le : 21/02/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Kouider Djouab
Source : www.lnr-dz.com