Algérie - Associations environnementales

Planète - L’union internationale de la conservation de la nature (UICN)



Planète - L’union internationale de la conservation de la nature (UICN)


Les 30 et 31 août 2018, à Fontainebleau (France), l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN, IUCN en anglais), la plus grande organisation non gouvernementale (ONG) mondiale, célébrait ses 70 ans.

L’UICN réunit aujourd’hui 1.411 membres de 160 pays parmi lesquels 211 États et agences gouvernementales, 1.200 ONG et organisations de peuples autochtones et sa task force, un réseau de 18.000 experts bénévoles répartis dans 6 commissions qui évaluent l’état des ressources naturelles du monde. Tous les 4 ans, ses membres se réunissent dans le Congrès comme celui ouvert vendredi à Marseille et qui se clôture samedi.

Elle est devenue célèbre avec sa «Liste rouge des espèces menacées» qui attribue depuis 1964 un statut à chaque espèce vivante, un outil incontournable qui fait autorité dans la communauté scientifique. L’UICN a également mis de l’ordre en 1994 dans les définitions des aires protégées avec un référentiel permettant de catégoriser les divers types d’aires protégées en fonction du degré de protection du patrimoine naturel et culturel qu’elles renferment. Avec sa «stratégie mondiale de la conservation de la nature» publiée en mars 1980, elle utilise pour la première fois la notion de «développement durable» concept repris ensuite et précisé dans le Rapport de Mme Brundtland pour les Nations-Unies en 1987 et 1992 au sommet de la Terre de Rio.

Depuis 2014, les aires protégées dont la gouvernance adhère aux standards établis, ceux d’une gestion efficace pour la conservation des ressources naturelles, sont admises dans une «liste verte» une référence mondiale pour un aménagement des aires protégées qui promeut des pratiques exemplaires.

Alors qu’elle contribue financièrement au même titre que pour l’ONU, l’Algérie, qui coopère avec l’UICN, compte une infime participation avec seulement 3 membres, le gouvernement et 2 associations, et une quarantaine d’experts dans ses six commissions.


Slim Sadki


Madame, Monsieur, Votre organisme à un but qui a attiré mon attention, très sensible à tout ce qui touche à notre planète et à son écosystème, je souhaiterais rejoindre votre ONG. Titulaire d'une Licence (Bac +5) en Sciences de l'Environnement filière de Génie de l’Environnement et Assainissement, je suis prêt à m'investir totalement dans votre programme et vous aider au mieux de mes capacités. Actuellement, je suis Assistant et chercheur à l’Université de Kinshasa, Faculté des Sciences Département des Sciences de l’Environnement. Expérimenté, j'ai déjà participé à des actions au niveau local, notamment le Club des étudiants en Sciences de l’Environnement. Si je souhaite être auprès de vos équipes c’est parce que je connais la renommée de votre Organisation et ce serait pour moi un réel tremplin mais aussi pour me créer une expérience professionnelle et ne pas m’en tenir qu’à mes compétences personnelles. Aussi j’aimerais vivement rejoindre votre Organisation pour mettre mes compétences acquises au profit de votre ONG et pour développer de nouvelles connaissances. Vous et moi pouvons collaborer dans le but de nous apporter à chacun des bénéfices. Conscient que cette lettre de motivation ne puisse suffire, je vous joins mon curriculum vitae et reste à votre entière disposition. J’espère cependant avoir su capter toute votre attention et que ma candidature saura retenir votre intérêt. Dans l’attente de recevoir une suite favorable, je vous prie d’agréer Monsieur, ma considération distinguée.
Mesongolo Lialia Credo - Enseignant - Kinshasa, Congo

23/05/2022 - 539988

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