Algérie

Planète en péril


Planète en péril
PUBLIÉ 05-11-2022 dans Le Soir d’Algérie
Par Mahmoud Ameur(*)

«La terre sera une grosse boule de feu d’ici 2600.»
Stephen Hawking, astrophysicien britannique connu mondialement (décédé en 2018)
Non, ce n’est pas le titre d’un film de science-fiction de Steven Spielberg, ni celui d’un roman fantastique de Steven King, mais la déclaration de Stephen Hawking –astrophysicien célèbre — lors du sommet organisé par le holding chinois Tencent à Pékin, en 2017. Cet illustre savant a ajouté : «À cause de l’accroissement de la population et de l’augmentation de la consommation d’énergie, la Terre risque de se transformer en boule de feu en 2600. Les humains doivent quitter la Terre pour s’installer sur une autre planète où les conditions de vie devraient être possibles.» Hawking n’est pas le seul savant à tenir de tels propos, car un autre scientifique américain (d’origine japonaise), le Dr Michio Kaku, rendu très célèbre grâce à son ouvrage L’avenir de l’humanité, a confié à la chaîne américaine National Geographic : «Notre futur ne se trouve pas sur Terre, mais plutôt sur les étoiles. Il n’y a qu’un seul moyen de sauver l’humanité : aller sur Mars.» Il a même ajouté cette prédiction terrifiante : «Nous devons quitter la Terre ou nous mourrons.» Aussi étonnant que cela puisse paraître, le savant soviétique Edouardovitch Tsiolkovski – considéré comme le théoricien de la cosmonautique moderne – avait en 1930 (déjà !) affirmé que «la Terre est notre berceau, mais nous ne pourrons rester indéfiniment dans ce berceau».
Pourquoi ces illustres scientifiques tiennent-ils des propos terrifiants concernant notre planète ?
Ce n’est pas pour éveiller les consciences, car les associations de renommée mondiale comme Greenpeace, par exemple, s’en chargent d’une manière admirable. Cette association donne d’ailleurs du fil à retordre aux gouvernants pour les obliger à prendre des mesures concernant le réchauffement climatique. Si ces savants montent au créneau, c’est que notre planète va mal, très mal. Les humains doivent savoir que la planète est réellement en danger. Car c’est l’activité humaine qui est derrière tous les maux de la Terre : pollution ; réchauffement climatique ; déforestation ; guerre… Des scientifiques, des associations de l’environnement lancent des avertissements : nous avons franchi le Rubicon, nous allons vers une catastrophe planétaire... Selon le rapport du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) de 2013, «l’influence humaine a été détectée dans le réchauffement climatique de l’atmosphère et des océans, dans les changements du cycle de l’eau à l’échelle planétaire, dans la réduction des précipitations de neige, dans la diminution des glaciers, dans l’élévation du niveau des mers et dans la fréquence accrue d’événements climatiques extrêmes. Toutes les données pointent vers un accroissement de l’influence humaine sur le climat. La probabilité que l’influence humaine ait été la cause majeure du réchauffement observé depuis le milieu du XXe siècle est extrêmement forte». C’est donc l’être humain qui est responsable de ses propres maux. Pour les experts, les évènements climatiques extrêmes sont : la foudre et les feux de forêt ; les canicules ; les inondations ; les glissements de terrain ; les ouragans ; les tornades ; le froid intense ; les précipitations hivernales et les avalanches ; les sécheresses… Aujourd’hui, le chaos guette l’humanité, car certains indicateurs viennent renforcer cette théorie du chaos (ou l’effet papillon, expression utilisée par certains scientifiques). Edward Lorenz, météorologue américain, avait, en 1972, posé la conception de la «théorie du chaos et de l’effet papillon». Lors d’une conférence internationale sur la météo, il avait déclaré ceci : «Le battement d’ailes d’un papillon provoque-t-il une tornade au Texas ?» De là est né «l’effet papillon» ou butterfly effect, phénomène matérialisé par une chaîne d’évènements qui se suivent les uns les autres et dont le précédent influe sur le suivant. On arrive en fin de parcours, généralement, à une catastrophe. Ce concept est aujourd’hui appliqué dans divers domaines : météo ; médecine ; climatologie ; physique ; économie ; informatique ; jeux…
La pandémie du Covid est un exemple parfait de l’effet papillon. Cette maladie détectée en Chine s’est rapidement propagée sur toute la planète. Conséquences : ralentissement de l’économie mondiale ; entreprises et moyens de transport paralysés ; pertes massives d’emplois ; des millions de morts… Sur notre planète, l’effet papillon a commencé déjà à faire son œuvre.

Voici des prémices de certains phénomènes scientifiquement établis qui conduiront probablement la Terre vers le chaos
Les canicules (vagues de chaleur) battent de plus en plus de record. Elles vont avoir un impact négatif sur les personnes, l’agriculture et les systèmes alimentaires. Les sécheresses deviennent fréquentes et plus graves en raison du changement climatique pratiquement à l’échelle du globe. Les cyclones vont devenir plus intenses et destructeurs. Les précipitations extrêmes (inondations) seront plus fréquentes sur la majeure partie du globe. La foudre pourrait augmenter de 12%. Elle est susceptible de déclencher des feux de forêt dévastateurs. Les incendies détruisent désormais deux fois plus de couverture forestière dans le monde qu’au début du siècle.

Conséquences du réchauffement climatique
Impacts d’abord sur les humains : les inondations et les sécheresses vont entraîner des diminutions considérables des récoltes qui vont provoquer des famines et favoriser certainement l’apparition de certaines maladies. La fondation Oxfam note que «si le changement climatique s’aggrave, ce sont les systèmes alimentaires de tous les pays qui seront touchés». Au Pakistan, en 2010, les réchauffements climatiques extrêmes ont détruit deux millions d’hectares de cultures ; tué 40% de bétail. Au Guatemala, les agriculteurs ont perdu 80% de leurs récoltes en raison de la sécheresse. Dans le même pays, la récolte du café fut perdue en raison d’une épidémie de la rouille du café. Ce qui a provoqué la perte de 200 000 emplois agricoles. (Source Oxfam, organisme mondial de lutte contre la faim).
Les canicules extrêmes vont provoquer la diminution considérable d’eau potable. La soif guette les hommes et les animaux. L’eau est tellement stratégique qu’elle pourrait créer des conflits entre pays voisins. C’est le cas notamment au Moyen-Orient entre Israël et ses voisins, le Liban, la Syrie, la Jordanie ou l’Égypte, le Soudan… La canicule extrême et le manque d’eau (déficit pluviométrique) peuvent provoquer l’anxiété, le stress, et autres maladies (malaria)…

Impacts sur les végétaux et les animaux
Les évènements météorologiques extrêmes ont provoqué l’extinction d’espèces végétales et animales. L’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) a recensé 41 000 espèces en danger sur les quelque 147 000 recensées. 9 065 espèces sont en danger critique. Dans ces espèces en voie d’extinction figurent des plantes, des reptiles, des oiseaux, des poissons, des insectes. Des scientifiques ont constaté que 44% des espèces ont disparu en dix ans !

Impacts des feux de forêt
En 2019, pas moins de 350 millions d’hectares de forêt ont brûlé dans le monde. C’est l’équivalent, disent certains chercheurs, de six fois la superficie de la France, l’Australie, la Siberie, l’Europe, les USA, l’Indonésie et l’Amazonie ! (Conséquences : pertes de quantités considérables de récoltes ; de bétail, des agriculteurs sans travail).

Impacts des inondations et pluies torrentielles
Des chercheurs affirment que les inondations et les pluies torrentielles ont causé 25 fois plus de dommages en 2010 qu’en 1970. Entre 2000 et 2019, il a été recensé 11 000 évènements climatiques extrêmes avec un bilan de 480 000 décès dans le monde. Ces évènements climatiques ont eu un impact négatif sur les récoltes. Au niveau mondial, on estime que les rendements de certaines cultures, notamment le blé, le maïs, la betterave, devraient chuter de 50% dans le futur proche.

Les déplacements climatiques
Les inondations et les pluies torrentielles vont avoir un impact négatif sur les populations. Selon un rapport de la Banque mondiale de septembre 2016, 216 millions de personnes seront obligées de quitter leur habitation d’ici 2050 pour trouver un nouveau lieu de vie dans leur pays actuel, devenant alors «des migrants climatiques internes».

Le réchauffement climatique et la faim dans le monde
Avec la hausse des températures, la qualité des cultures s’appauvrit ; les aliments sont de plus en plus rares. Les prix s’envolent, privant ainsi la population de nourriture. Selon l’ONU, plus de 88 millions de personnes souffrent déjà de la faim dans le monde. Le changement climatique est l’une des principales raisons de l’insécurité alimentaire grandissante dans le monde. D’ici 2080, 600 millions de personnes supplémentaires pourraient souffrir de la faim à cause du changement climatique. (Revue Vision du monde 2022). D’ici 2100, un milliard de personnes se retrouveront sans eau ; deux milliards subiront la faim, selon la revue Slow Food. En outre, le rapport de l’ONU de février 2022 sur le climat note que le changement climatique est sur le point de s’aggraver. Il est notamment précisé que «les preuves scientifiques cumulatives sont sans équivoque : le changement climatique est une menace pour le bien-être humain et la santé planétaire».

Deux dangers terrifiants guettent aussi l’humanité : la fonte du permafrost et la montée du niveau des mers et des océans
Des scientifiques signalent l’échappée de quantités massives de gaz méthane au pôle Nord. Cette calotte glaciaire renferme, dit-on, 1 700 milliards de tonnes de carbone organique, presque deux fois la quantité de carbone déjà présente dans l’atmosphère. C’est le permafrost (ou pergélisol en français) qui renferme le méthane dont le pouvoir réchauffant est 82 fois plus important que le CO2.
Le permafrost, c’est quoi ? Le permafrost (appelé pergélisol en français) est le morceau de sous-sol gelé pendant plus de deux années consécutives. On le trouve sous 80% de l’Alaska par exemple. Le pergélisol retient des quantités considérables de carbone et de virus et bactéries en sommeil. Si le permafrost se dégèle, il libérera carbone, virus et bactéries. Les gaz libérés vont accélérer le réchauffement climatique. De plus, la fonte du permafrost accélère aussi l’érosion des côtes. En Arctique, le permafrost fond 70 ans plus tôt que prévu ! Or, la fonte du pergélisol, selon les scientifiques, met la planète entière en danger. Des carottages ont été effectués en Alaska sur des sols de permafrost entre 2004 et 2012.
Les résultats sont effrayants. Les scientifiques ont trouvé 1656 millions de tonnes de mercure dans le pergélisol. Selon Paul Schuster, chargé de cette étude, «cette grande quantité de mercure va se propager partout sur la terre !» (Revue Novethic 18 juin 2017). Outre les autres gaz à effet de serre, le permafrost renferme aussi des virus et bactéries «oubliés».
En 2016, en Sibérie, en fondant, le permafrost a libéré de vieilles carcasses de rennes morts encore porteuses de bactéries (le bacille du charbon) pourtant disparu depuis 1940 ! Malheureusement, les microbes qui ont survécu au gel ont contaminé animaux et humains : des rennes morts ; 20 personnes malades et 1 enfant décédé (revue Goodplanete).
Des scientifiques ont découvert en 2015 quatre types de virus dans cette glace (le permafrost). Ils étaient enfermés dans la glace depuis des milliers d’années comme le mollivirus (heureusement inoffensif pour l’Homme). Un biologiste français, Jean Michel Claver, a démontré qu’entre 2014 et 2015 des virus vieux de 30 000 ans (découverts en Russie) pouvaient conserver leur pouvoir d’infection. Ces virus avaient en réalité sommeillé à 20 mètres de profondeur dans le sol gelé (permafrost).
Le pergélisol en fondant libère le mercure qui contamine ainsi la chaîne alimentaire en rejoignant les océans. Pour certains scientifiques, la fonte du permafrost est une boîte de Pandore virale et bactérienne ; pour d’autres, c’est une bombe climatique à retardement. La fonte des deux calottes glaciaires (pôles Nord et Sud) entraînerait, disent certains scientifiques, l’élévation du niveau de la mer et des océans de plus de 65 mètres ! Effrayant, n’est-ce pas ?

La montée du niveau des mers et des océans (phase finale de l’effet papillon)
Des experts affirment que les températures vont augmenter de 3°C d’ici 2100. Cela va entraîner l’élévation du niveau des mers et des océans (entre 3 et 6 mètres). Plusieurs grandes villes des quatre coins du globe seront submergées dans les prochaines décennies. Selon une étude établie en 2019, 630 millions de personnes pourraient vivre sur des terres exposées à des inondations chroniques.
Aux USA, 50 métropoles américaines (New York, Miami…), dont 36 en Floride, seront concernées par ce phénomène. Pratiquement toutes les villes côtières dans le monde seront menacées par la montée des eaux d’ici 2100, disent les experts.
En Europe : les Pays-Bas, la France, la Belgique et le Royaume-Uni sont les plus vulnérables. En Asie, c’est Djakarta (Indonesie) qui est la plus ciblée car c’est la ville qui coule le plus rapidement au monde à une vitesse de 25 ; 4 cm par an. Elle se trouve au-dessous du niveau de la mer ; elle doit être déplacée.
Les grandes villes côtières africaines menacées par la montée des eaux des mers : Alger, Casablanca, Tunis, Tripoli, Abidjan, Accra, Maputo, Pointe noire, Durban, Le Cap, Conakry, Accra, Abidjan, Dakar, Alexandrie, Dar Essalam, Khartoum…
Moyen-Orient et Asie : Dubaï, Shanghai, Hanoi, Rangoon, Tokyo et Osaka, Calcutta, Hochiminh, Dacca…
Villes qui risquent de disparaître sous les eaux : Jakarta, Venise, Miami…

Les îles du Pacifique (atolls de Kiribati)
Elles sont les premières à disparaître en cas d’élévation du niveau des mers et des océans. Les Maldives connaîtront le même sort, pays le plus plat sur terre, avec une altitude moyenne d’un mètre.
Alors, si les humains sont obligés de quitter la Terre, quelle est la planète sur laquelle ils pourront s’installer ?
Les savants Stephen Hawking et Michio Kaku ont formulé des visions futuristes, qui, selon des chercheurs chevronnés, sont, certes, audacieuses, mais parfaitement réalisables eu égard à la technologie actuelle et à celle qui va se développer dans le proche futur. Pour ces deux scientifiques, l’Homme doit quitter la Terre pour s’installer sur une autre planète où la vie sera possible.

Quelle est la vision futuriste de Stephen Hawking ?
Pour cet astrophysicien, les humains doivent quitter la Terre pour aller s’installer sur une autre planète où la vie sera possible. Pour ce faire, Hawking s’est associé avec la Nasa et avec des chercheurs coréens du Kasit (Institut coréen des sciences et technologies) pour lancer un projet audacieux.
C’est le milliardaire russe Yuri Milner qui finance ces travaux pour lesquels il aurait investi cent 100 millions de dollars. Ce projet, connu sous le nom de Break Trought Start Short, doit étudier Alpha Centauri (le système solaire le plus proche de la Terre ; il est situé à seulement 4, 37 années-lumière).
Les chercheurs participant à ce projet veulent étudier s’il y a des planètes dans le système capable de supporter la vie. Le projet consiste à envoyer des nanocrafts (engins spatiaux ultra-légers) sur Alpha Centauri en utilisant une voile lumineuse propulsée par un vaisseau lumineux de 100 gigawatts ; car la technologie des voiles lumineuses a été testée par de nombreux groupes de recherches.
Les chercheurs veulent envoyer des milliers de nanocraft (ou vaisseaux spatiaux ultralégers) vers le système stellaire voisin.
Le nanocraft est un vaisseau spatial de la taille d’un smartphone doté d’une puce de silicium. Il peut voyager à la vitesse de la lumière pour arriver à Alpha Centauri dans 20 ans !
Le nanocraft fabriqué dans une technologie sophistiquée est capable d’envoyer des photos des planètes ciblées. Malheureusement, les chercheurs du Kasit ont détecté un grave problème avec cette technologie pourtant hautement audacieuse.
Le rayonnement à haute énergie dans l’espace causerait des dégâts au vaisseau spatial et détruirait la puce de silicium. Le vaisseau spatial cesserait alors de fonctionner des années avant la fin du voyage. Les experts ne sont pas pour autant découragés et continuent de travailler pour trouver une autre solution.

Quelle est la vision futuriste du docteur Michio Kaku ?
Ce scientifique propose aux humains de s’installer sur Mars avant 2600. Je reproduis ici un extrait de sa déclaration faite à la chaîne américaine National Geographic en avril 2018. « De nombreux scientifiques disent que Mars est froide et déserte et que rien ne peut pousser là-bas. Nous pouvons modifier génétiquement les plantes et les algues pour qu’elles puissent se développer sur Mars. Le voyage jusqu’à Mars dure 9 mois. Pour Mars, nous devons tout emmener avec nous. C’est pour cela qu’un tel projet coûte si cher. Nous avons besoin de robots pour construire des objets et de la nanotechnologie pour produire des matériaux de construction légers, extrêmement résistants et préfabriqués pour créer des villes en forme de dômes. Nous voulons tous voir des villes du futur sur Mars. Les robots seront de plus en plus adaptés pour travailler dans ces environnements inhospitaliers à la fin du siècle. À l’avenir, nous nous attendons donc à voir des ouvriers robotiques construire les fantastiques villes en forme de dôme évoquées dans les romans de science-fiction.» Comme on le constate pour ces scientifiques, dans le futur proche, l’Homme devra quitter la Terre pour s’installer sur une autre planète habitable. Évidemment, les technologies vont jouer un rôle capital dans ces projets audacieux : bataillons de robots, nanotechnologie, biotechnologie, vaisseaux spatiaux capables de transporter les voyageurs vers des contrées lointaines, plantes génétiquement modifiées… L’eau ne devra pas poser un problème car la Nasa aurait découvert des traces de cet «or bleu» sur Mars.

En guise de conclusion
Supposons que des extraterrestres vivent sur une ou plusieurs planètes qui existent dans le système solaire. Ne s’acheminerait-on pas un jour vers une guerre sans fin entre Terriens et extraterrestres, comme dans les films de science-fiction ? Nous ne connaîtrons pas la réponse à cette question, car bien avant le moment fatidique (2600), nous serons certainement dans l’Au-delà, dans le meilleur des mondes. N’est-ce pas ?

M. A.
(*) Chef de service régional du travail à la retraite (ex-correspondant de presse).

Sources
Steven Haking interview Sommet Tencent Pékin 2017.
Breakthrough initiatives programme de recherche de vie extraterrestre piloté par Hawking mission vers Alpha Centauri (planète) 2015 projet financé par Yuri Milner (Russie).
/Michio Kaku Livre L’avenir de l’humanité 2011 et Interview à National Geographic mars 2018.
Revue/Slow Food : «Changement climatique et alimentation» 2018.
Revue Novethic : «Tout ce que nous cache le permafrost». Septembre 2018.
Revue Oxfam : «La famine et le réchauffement climatique». 2014.
/ -Revue Vision du monde : Changement climatique : Quel impact sur la sécurité alimentaire ? 2021.
Espèces végétales en voie de disparition : Rapport de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), mai 2022.
./ Le permafrost : une bombe climatique à retardement. Sud-Ouest octobre 2021.
«Dérèglement climatique : ces villes menacées par les eaux». Rapport du Giec 2021.
«L’économie du changement climatique mondial» Jonathan Harris – Brian Roach et Anne Marie Codur 2017.
«Les évènements météorologiques extrêmes et le changement climatique» Ben Clark et Frederik Otto 2017.
«Le méthane», Académie des technologies 2013.
«Les évènements météorologiques extrêmes dans un contexte de changement climatique». Oservatoire national sur les effets du réchauffement climatique France 2017 (et plusieurs autres dossiers sur le même sujet).
/Rapport du groupe d’experts de haut niveau sur la sécurité alimentaire 2015.
«La théorie du chaos et l’effet papillon (Butterfly Effect)» : Edward Lorenz, Conférence internationale en 1972 sur la météorologie.

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