Algérie

Plaidoyer pour l'aplanissement des difficultés


Plaidoyer pour l'aplanissement des difficultés
Les participants à une rencontre organisée à Tipasa, sur le thème "Partenariat et des opportunités d'affaires offertes à la communauté algérienne établie en France", ont plaidé pour la nécessité d'aplanir les difficultés et la facilitation des procédures pour l'encouragement des innovations des Algériens résidant en France et sur la rive Nord de la Méditerranée en général.Les participants à une rencontre organisée à Tipasa, sur le thème "Partenariat et des opportunités d'affaires offertes à la communauté algérienne établie en France", ont plaidé pour la nécessité d'aplanir les difficultés et la facilitation des procédures pour l'encouragement des innovations des Algériens résidant en France et sur la rive Nord de la Méditerranée en général.La rencontre, deuxième du genre, organisée par l'Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet), au profit d'un groupe de chercheurs lauréats du Programme d'accompagnement à la création d'entreprises innovantes en Méditerranée (PACEIM) "vise la mobilisation des compétences scientifiques et techniques des Algériens établis en France et en Europe".Dans son allocution d'ouverture de cette rencontre, la directrice générale de l'Anvredet, Haliche Djamila, a expliqué que le PACEIM est le fruit d'un partenariat entre l'Union européenne, I'Institut de recherche pour le développement (IRD) de (France), Marseille Innovation et des promoteurs de projets de pays de la Méditerranée."Le programme est essentiellement destiné aux ressortissants universitaires désireux de créer des entreprises à caractère technologique dans leurs pays d'origine", a-t-elle signalé. Il s'agit, en l'occurrence, d'assurer un accompagnement logistique et technique à un groupe de 17 chercheurs algériens établis en France, qui ont exposé leurs innovations et projets en matière de pharmacologie, médecine, agriculture, agroalimentaire, électronique, et mécanique, devant les représentants de ministères et organismes concernés.Le docteur Issam Rahil, un chercheur algérien établi en France, diplômé de l'Université algérienne, a indiqué à l'APS qu'il espère "en savoir plus sur les procédures et démarches nécessaires pour passer du monde des laboratoires et de la recherche vers celui des affaires et de l'entrepreneuriat. C'est pour moi une opportunité pour m'informer sur les opportunités d'affaires et de partenariat offertes par le marché algérien pour ses ressortissants en France".Sa cons?ur, Dr Zighadi Nacéra, une autre diplômée de l'Université algérienne, qui a présenté, à l'occasion, le projet d'un appareil pour la prévention des complications des maladies cardiaques et chroniques, a lancé un appel, aux banques, afin d'assurer un "accompagnement efficient aux innovations. Mon projet est reconnu mondialement, mais il nécessite un financement onéreux", a-t-elle observé.Pour sa part, le représentant du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Pr Selami Mokhtar, a affirmé "l'existence d'une volonté politique pour la valorisation des innovations et la recherche scientifique, en réunissant les conditions nécessaires au soutien des chercheurs algériens porteurs de projets d'application dans des domaines définis".La rencontre, deuxième du genre, organisée par l'Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet), au profit d'un groupe de chercheurs lauréats du Programme d'accompagnement à la création d'entreprises innovantes en Méditerranée (PACEIM) "vise la mobilisation des compétences scientifiques et techniques des Algériens établis en France et en Europe".Dans son allocution d'ouverture de cette rencontre, la directrice générale de l'Anvredet, Haliche Djamila, a expliqué que le PACEIM est le fruit d'un partenariat entre l'Union européenne, I'Institut de recherche pour le développement (IRD) de (France), Marseille Innovation et des promoteurs de projets de pays de la Méditerranée."Le programme est essentiellement destiné aux ressortissants universitaires désireux de créer des entreprises à caractère technologique dans leurs pays d'origine", a-t-elle signalé. Il s'agit, en l'occurrence, d'assurer un accompagnement logistique et technique à un groupe de 17 chercheurs algériens établis en France, qui ont exposé leurs innovations et projets en matière de pharmacologie, médecine, agriculture, agroalimentaire, électronique, et mécanique, devant les représentants de ministères et organismes concernés.Le docteur Issam Rahil, un chercheur algérien établi en France, diplômé de l'Université algérienne, a indiqué à l'APS qu'il espère "en savoir plus sur les procédures et démarches nécessaires pour passer du monde des laboratoires et de la recherche vers celui des affaires et de l'entrepreneuriat. C'est pour moi une opportunité pour m'informer sur les opportunités d'affaires et de partenariat offertes par le marché algérien pour ses ressortissants en France".Sa cons?ur, Dr Zighadi Nacéra, une autre diplômée de l'Université algérienne, qui a présenté, à l'occasion, le projet d'un appareil pour la prévention des complications des maladies cardiaques et chroniques, a lancé un appel, aux banques, afin d'assurer un "accompagnement efficient aux innovations. Mon projet est reconnu mondialement, mais il nécessite un financement onéreux", a-t-elle observé.Pour sa part, le représentant du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Pr Selami Mokhtar, a affirmé "l'existence d'une volonté politique pour la valorisation des innovations et la recherche scientifique, en réunissant les conditions nécessaires au soutien des chercheurs algériens porteurs de projets d'application dans des domaines définis".


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