Sur les îles Habibas (Oran), j’ai pu travailler dans ce phare grâce aux militaires de la marine qui m’ont accompagné. L’accès est très réglementé parce que c’est un site naturel très fragile, abri des oiseaux migrateurs et d’une beauté incroyable. Il y a quelques temps, on pouvait y accéder librement, mais l’incivisme de certains visiteurs a poussé les autorités à en limiter l’accès. C’est désormais un site protégé. Il a, d’ailleurs, souvent été difficile pour moi de prendre des photos, parce que les gardiens qui sont en poste dans ces phares m’en refusaient l’accès.
Posté Le : 13/01/2018
Posté par : patrimoinealgerie
Ecrit par : Photo : Zinedine Zebar - Texte : Adlène Meddi
Source : blog.lefigaro.fr/algerie/2015/08/les-secrets-des-phares-dalgerie.html