Vers 17H00 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier s’échangeait à 108,92 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 7 cents par rapport à la clôture de jeudi. Sur le New York Mercantile Exchange, le baril de light sweet crude (WTI) pour la même échéance gagnait 6 cents, à 100,26 dollars.
L’unique facteur de soutien au marché au plan fondamental, ce sont les tensions géopolitiques croissantes au Moyen-Orient, avec la question nucléaire iranienne et des violences en Syrie, soulignait un analyste cité par l’AFP.
L’Union européenne et le Sénat américain ont durci jeudi les sanctions, notamment financières, contre l’Iran, deuxième pays producteur au sein de l’Opep, soupçonné par les Occidentaux de chercher à développer l’arme atomique.
Mais les cours du baril sont toujours freinés par les préoccupations sur la zone euro, que l’annonce d’une rencontre franco-allemande lundi avant le sommet européen crucial du 9 décembre peinait à dissiper, relevait encore l’expert.
La grande crainte est que la crise des dettes souveraines européennes puisse continuer à affecter la croissance mondiale l’année prochaine et donc la consommation énergétique sauf si les marchés restent suffisamment approvisionnés en liquidités, poursuivait-il.
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Posté Le : 05/12/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Rédaction Economie
Source : www.elwatan.com