Baroud : C’est un mélange de matériaux inflammables ou un explosif solide. Son interaction mène à la production d’une chaleur dans l’isolement de l’air extérieur avec la libération de grandes quantités de gaz.
L’Oud : C’est un instrument de musique à cordes pincées très répandu dans les pays arabes, en Turquie, en Grèce, en Azerbaïdjan et en Arménie. Son nom vient de l'arabe al-oud (signifiant « le bois »), terme transformé en Europe en laute, alaude, laud, liuto, luth.
Couscous : C’est un plat nord-africain d'origine berbère. Couscous désigne aussi les granules sphériques obtenues par agglomération de semoule de blé dur, celles-ci pouvant être fines, moyennes ou grosses.
Bendir : est un instrument à percussion connu dans tout le Maghreb. C'est un tambour sur cadre assez similaire au daf asiatique, faisant partie des membranophones. Les Amazighs (berbères ), c'est à dire l'immense majorité des Marocains et Algériens, l'appellent également adjoun.
Gandouras : est une tunique longue sans manches et sans capuchon d'origine berbère, portée au Maghreb.
Tbal : est un mot d'origine arabe utilisé en Afrique subsaharienne pour désigner des de taille et de fabrication diverses. Chez les Maures, comme chez les Peuls, il désigne un instrument dont la caisse hémisphérique peut atteindre 80 cm de diamètre
Laâlaoui : C’est une danse qui fait partie du folklore algérien. Cette danse populaire se pratique dans l’Ouest de l’Algérie lors de maints évènements et de saisons de récoltes agricoles. Considérée comme étant une danse d’hommes, elle compte sur l’agilité et la vitesse de déplacement dans la coordination.
Méchoui : est un mouton ou un agneau entier rôti à la broche, sur les braises d'un feu de bois. Le mot vient du verbe arabe šawa qui signifie « griller, rôtir ». Ce plat est très répandu en Afrique du Nord.
Gallal : C’est un tambour long et étroit accompagnant le raï traditionnel. Il prend la forme cylindrique ou conique et son diamètre est plus réduit que celui de la derbouka, mais sa longueur dépasse celle-ci. Il en existe trois types selon le diamètre du qallouz : Achari (dix) plus grand, sbe’ï (sept) moyen etkhmassi (cinq) plus petit.
Bédouin : C'est un nom donné aux nomades d'Afrique du Nord, d'Egypte, de Syrie et d'Arabie. Reconnaissables par leurs dialectes arabes, culture arabe et structure sociale spécifiques
Tolba : Ce sont les imams de mosquées et les hazzabas (des préposés religieux qui participent à la récitation rituelle du coran aux mosquées après la prière d’As-sobh et du Maghrib) sont invités à participer dans diverses cérémonies de bonheur comme de chagrin .
Hadra : C’est une forme de dhikr en groupe où les participants sont le plus souvent debout, en cercle. En fonction de l'ordre soufi, elle peut contenir des éléments tels que des chants, des danses et de la musique.
Baraka : est un mot de la langue arabe dont la transcription de l'arabe est barakah et signifie, principalement, « sagesse » ou « bénédiction ».
Waada : désigne au Maghreb, une fête régionale annuelle qui associe une célébration religieuse (souvent pour honorer un saint) à des activités festives et commerciales.
Moussem : C’est une fête où le cheval est roi. C’est l’occasion pour chacune des tribus de rivaliser entre elles par la beauté des costumes, des tentes, des chevaux, des harnachements, des selles mais aussi par le traditionnel concours de fantasia qui est le point d’orgue. Chaque tribu vient avec son équipe (sorba) et une nombreuse assistance qui l’encouragera, jugera les meilleurs cavaliers et acclamera toute bonne exhibition.
Le moussem algérien le plus important du territoire est celui de l’oasis de Bèni Abbes.
Fantasia : C’est un Sport ainsi qu’un divertissement arabe qui réunit l’équitation, la chasse et la guerre. Elle est un extraordinaire exercice guerrier où des hommes à cheval se livrent à d’incroyables acrobaties et déchargent leurs «moukhala» (vieux fusil à poudre) lors d’un galop doté d’une parfaite synchronisation.
El Goum : C’est une scène où les cavaliers bédouins, organisés en fraction, s’y affrontent dans un jeu de charges héroïques.
Ziara : C’est le fait de rendre visite, aller en pèlerinage, dans le langage judéo arabe. Dans la tradition juive, aussi bien qu’en Afrique du nord, on avait coutume d'aller en pèlerinage à différentes occasions, sur différents sites pour honorer la mémoire d’un lieu saint où des miracles se produisirent. Lorsque, cette visite sort du cadre ordinaire et se fait aux morts, elle devient pieuse.
Wali : Le rapproché de Dieu est l’équivalent du saint. Il se distingue par ses grandes qualités d'âme, un certain ascétisme et renoncement matériel mais surtout un grand degré de piété. On lui prête des dons de clairvoyance ainsi qu'un pouvoir de bénédiction. Au Maghreb en particulier les marabouts sont des saints locaux reconnus dont le tombeau est l'objet d'un culte populaire.
Rakb : Ce sont des anneaux métalliques suspendus de chaque côté de la selle, où le cavalier vient glisser ses pieds pour prendre appui. Ils peuvent être fabriqués en acier inoxydable, en carbone ou en aluminium.
Goubba : C’est un type de dôme qui est utilisé pour la toiture sont les formes les plus simples d'un hémisphère creux sur des poteaux ou des murs faits de matériaux différents. Le dôme est un élément de l'architecture islamique.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 30/09/2013
Posté par : dmmb
Ecrit par : Merad Boudia