La visite d'état du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, depuis hier en Arabie saoudite, constitue une occasion d'impulser une nouvelle dynamique à la coopération bilatérale, ouvrir des perspectives de partenariat prometteuses et augmenter le volume des échanges commerciaux entre les deux paysLa visite d'état du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, depuis hier en Arabie saoudite, constitue une occasion d'impulser une nouvelle dynamique à la coopération bilatérale, ouvrir des perspectives de partenariat prometteuses et augmenter le volume des échanges commerciaux entre les deux pays
L' Arabie saoudite est le premier paysarabe que Tebboune visite depuis son élection à la présidence de la République, et ce en réponse à l'invitation du serviteur des Lieux Saints de l'Islam, le roi Salmane Ben Abdelaziz Al-Saoud. Le président de la République avait exprimé la volonté d'effectuer une visite en Arabie saoudite, pays auquel "nous vouons fraternité et considération", avaitil dit, mais la visite avait été reportée en raison de "son agenda interne chargé, avec l'ouverture de plusieurs chantiers".
Au cours de cette visite de trois jours, les dirigeants des deux pays examineront les voies et moyens de renforcer la coopération bilatérale, la coordination et la concertation sur les questions d'intérêt commun. Cette visite est à même de contribuer à la concrétisation des projets de partenariat et d'investissement, convenus au cours des intenses visites effectuées durant ces dernières années par les hauts responsables des deux pays. A cet effet, l'Algérie et l'Arabie saoudite s'emploient à donner un nouvel élan à la coopération bilatérale et à offrir de nouvelles perspectives aux investisseurs en vue d'augmenter le volume des échanges commerciaux, et ce partant des relations privilégiées unissant les deux pays et de la volonté commune de leurs dirigeants d'élargir le partenariat économique. Cette visite devrait insuffler une nouvelle dynamique aux différents ateliers bilatéraux issus de la 13e session de la commission mixte algéro-saoudienne, tenue en avril 2018 à Ryadh, et qui a été sanctionnée par la signature de trois accords de coopération en matière d'investissement, de conformité, de normalisation ainsi que dans le domaine des relations internationales.
L'Algérie avait abrité, en février 2017, les travaux de la 12e session de la commission mixte algéro-saoudienne. Pour sa part, l'Arabie aaoudite souhaite établir des partenariats d'investissement stratégiques avec l'Algérie à l'effet de booster et hisser les relations économiques au niveau des relations politiques entre les deux pays, d'autant qu'Alger affiche sa dispositionà coopérer avec Ryadh dans tous les domaines économiques, notamment industriels où des progrès notables sont enregistrés ces dernières années. Les deux pays aspirent à l'établissement de partenariats dans les domaines des hydrocarbures, pétrochimie, agriculture, industrie, économie du savoir et tourisme, des secteurs où l'Algérie soutient l'investissement, en accordant plusieurs facilités.
L'Arabie saoudite figure parmi les partenaires principaux de l'Algérie avec un volume d'exportation de 473 millions usd durant les neuf premiers mois de l'annéepassée. Cette visite constitue une occasion pour échanger les vues sur les questions arabespolitiques et économiques d'intérêt commun,et à leur tête, la cause palestinienne et les situations dans certains pays arabes, outre les évolutions du marché pétrolier. A ce propos, le ministre de l'Energie MohamedArkab avait fait état récemment d'une réflexion profonde en cours sur une réduction additionnelle de la production d pétrole par les pays Opep+ " pour la période allant de février à juin prochain pour garantir l'équilibre entre l'offre et la demande et empêcher ainsi une dégringolade des prix.
"Le volume des réductions n'est pas encore déterminé. Les consultations se poursuivent toujours avec tous lespays (Opep et Non-Opep) et le volume des réductions additionnelles sera déterminé selon les capacités de chaque Etat", avait déclaré le ministre. Pour rappel, le prince héritier de l'Arabie saoudite, Mohamed ben Selmane ben AbdelazizAl-Saoud, vice-Premier ministre et ministre de la Défense avait effectué en décembre 2018 une visite officielle en Algérie à la tête d'une délégation de haut niveau composée de ministres, d'hommes d'affaires et d'éminentes personnalités saoudiennes. En mars 2018, le ministre saoudien de l'Intérieur, l'émir Abdelaziz Ben Saoud Ben Nayef Ben Abdelaziz Al- Saoud, s'était rendu en Algérie pour une visite officielle. Lors de la visite du Prince héritier saoudien, un conseil d'Affaires algéro-saoudien avait été organisé, dont les travaux ont été sanctionnés par l'augmentation des investissements saoudiens en Algérie durant les années à venir. Le secteur industriel se taillera la part du lion, notamment avec le lancement d'investissements prometteurs dans les secteurs agricole et touristique
L' Arabie saoudite est le premier paysarabe que Tebboune visite depuis son élection à la présidence de la République, et ce en réponse à l'invitation du serviteur des Lieux Saints de l'Islam, le roi Salmane Ben Abdelaziz Al-Saoud. Le président de la République avait exprimé la volonté d'effectuer une visite en Arabie saoudite, pays auquel "nous vouons fraternité et considération", avaitil dit, mais la visite avait été reportée en raison de "son agenda interne chargé, avec l'ouverture de plusieurs chantiers".
Au cours de cette visite de trois jours, les dirigeants des deux pays examineront les voies et moyens de renforcer la coopération bilatérale, la coordination et la concertation sur les questions d'intérêt commun. Cette visite est à même de contribuer à la concrétisation des projets de partenariat et d'investissement, convenus au cours des intenses visites effectuées durant ces dernières années par les hauts responsables des deux pays. A cet effet, l'Algérie et l'Arabie saoudite s'emploient à donner un nouvel élan à la coopération bilatérale et à offrir de nouvelles perspectives aux investisseurs en vue d'augmenter le volume des échanges commerciaux, et ce partant des relations privilégiées unissant les deux pays et de la volonté commune de leurs dirigeants d'élargir le partenariat économique. Cette visite devrait insuffler une nouvelle dynamique aux différents ateliers bilatéraux issus de la 13e session de la commission mixte algéro-saoudienne, tenue en avril 2018 à Ryadh, et qui a été sanctionnée par la signature de trois accords de coopération en matière d'investissement, de conformité, de normalisation ainsi que dans le domaine des relations internationales.
L'Algérie avait abrité, en février 2017, les travaux de la 12e session de la commission mixte algéro-saoudienne. Pour sa part, l'Arabie aaoudite souhaite établir des partenariats d'investissement stratégiques avec l'Algérie à l'effet de booster et hisser les relations économiques au niveau des relations politiques entre les deux pays, d'autant qu'Alger affiche sa dispositionà coopérer avec Ryadh dans tous les domaines économiques, notamment industriels où des progrès notables sont enregistrés ces dernières années. Les deux pays aspirent à l'établissement de partenariats dans les domaines des hydrocarbures, pétrochimie, agriculture, industrie, économie du savoir et tourisme, des secteurs où l'Algérie soutient l'investissement, en accordant plusieurs facilités.
L'Arabie saoudite figure parmi les partenaires principaux de l'Algérie avec un volume d'exportation de 473 millions usd durant les neuf premiers mois de l'annéepassée. Cette visite constitue une occasion pour échanger les vues sur les questions arabespolitiques et économiques d'intérêt commun,et à leur tête, la cause palestinienne et les situations dans certains pays arabes, outre les évolutions du marché pétrolier. A ce propos, le ministre de l'Energie MohamedArkab avait fait état récemment d'une réflexion profonde en cours sur une réduction additionnelle de la production d pétrole par les pays Opep+ " pour la période allant de février à juin prochain pour garantir l'équilibre entre l'offre et la demande et empêcher ainsi une dégringolade des prix.
"Le volume des réductions n'est pas encore déterminé. Les consultations se poursuivent toujours avec tous lespays (Opep et Non-Opep) et le volume des réductions additionnelles sera déterminé selon les capacités de chaque Etat", avait déclaré le ministre. Pour rappel, le prince héritier de l'Arabie saoudite, Mohamed ben Selmane ben AbdelazizAl-Saoud, vice-Premier ministre et ministre de la Défense avait effectué en décembre 2018 une visite officielle en Algérie à la tête d'une délégation de haut niveau composée de ministres, d'hommes d'affaires et d'éminentes personnalités saoudiennes. En mars 2018, le ministre saoudien de l'Intérieur, l'émir Abdelaziz Ben Saoud Ben Nayef Ben Abdelaziz Al- Saoud, s'était rendu en Algérie pour une visite officielle. Lors de la visite du Prince héritier saoudien, un conseil d'Affaires algéro-saoudien avait été organisé, dont les travaux ont été sanctionnés par l'augmentation des investissements saoudiens en Algérie durant les années à venir. Le secteur industriel se taillera la part du lion, notamment avec le lancement d'investissements prometteurs dans les secteurs agricole et touristique
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Posté Le : 27/02/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com