Une femme et son complice ont été condamnés, mardi 22 mars, à la peine capitale par le tribunal criminel près la cour de justice de Skikda, pour constitution d'une association de malfaiteurs et homicide volontaire accompagné de torture et actes sauvages avec préméditation à l'encontre de son ex-mari.Une femme et son complice ont été condamnés, mardi 22 mars, à la peine capitale par le tribunal criminel près la cour de justice de Skikda, pour constitution d'une association de malfaiteurs et homicide volontaire accompagné de torture et actes sauvages avec préméditation à l'encontre de son ex-mari.L'affaire remonte au mois de novembre 2012, selon l'arrêt de renvoi, quand la victime B. K. (53 ans) a disparu dans des "conditions obscures" tandis que son exépouse B. N. (49 ans) et ses trois enfants prétendaient qu'il était parti travailler dans le sud du pays.Devant l'impossibilité de le joindre et constatant son absence aux obsèques de son frère et au succès de sa fille au baccalauréat 2013, les proches de la victime ont signalé, en juillet 2013, sa disparition à la police. Ils ont ensuite fait part de leur suspicion à l'égard de son ex-épouse avec laquelle il avait un différend constant par rapport à l'appartement qu'elle occupe, lui réclamant de le libérer car il comptait se remarier.Après une enquête approfondie, elle a fini par avouer le meurtre perpétré au domicile familial en novembre 2012 avec la complicité de son amant B. S. et du dénommé B. A. avec qui elle avait contracté un mariage coutumier (orfi) en 2010 après son divorce. La prévenue s'est ensuite rétractée et avait nié tout lien avec le meurtre, notamment sa présence au domicile le jour du crime.Les enquêteurs ont tout de même réussi, en dépit de la négation des faits par les accusés, à découvrir le cadavre de la victime enterré sous le bassin de la douche du domicile en question découpé en neuf morceaux avec des coups sur la tête et des coups de poignard au ventre et au dos. Au cours du procès, la femme a nié tout lien avec le meurtre et a soutenu que son amant l'avait menacé de tuer son fils si elle venait à le dénoncer. Chaque accusé a ainsi nié les faits rejetant la responsabilité sur l'autre.Le parquet qui a souligné le caractère "horrible et prémédité" de l'assassinat de la victime, qui a reçu 7 coups de marteau à l'avant de la tête et deux autres sur la partie postérieure du crâne ainsi que 12 coups de poignards au ventre et au dos avant d'être découpé et enterré au domicile, a requis la peine capitale contre les trois accusés. Le tribunal a néanmoins relaxé le troisième co-accusé B. A. (58 ans) poursuivi dans la même affaire.L'affaire remonte au mois de novembre 2012, selon l'arrêt de renvoi, quand la victime B. K. (53 ans) a disparu dans des "conditions obscures" tandis que son exépouse B. N. (49 ans) et ses trois enfants prétendaient qu'il était parti travailler dans le sud du pays.Devant l'impossibilité de le joindre et constatant son absence aux obsèques de son frère et au succès de sa fille au baccalauréat 2013, les proches de la victime ont signalé, en juillet 2013, sa disparition à la police. Ils ont ensuite fait part de leur suspicion à l'égard de son ex-épouse avec laquelle il avait un différend constant par rapport à l'appartement qu'elle occupe, lui réclamant de le libérer car il comptait se remarier.Après une enquête approfondie, elle a fini par avouer le meurtre perpétré au domicile familial en novembre 2012 avec la complicité de son amant B. S. et du dénommé B. A. avec qui elle avait contracté un mariage coutumier (orfi) en 2010 après son divorce. La prévenue s'est ensuite rétractée et avait nié tout lien avec le meurtre, notamment sa présence au domicile le jour du crime.Les enquêteurs ont tout de même réussi, en dépit de la négation des faits par les accusés, à découvrir le cadavre de la victime enterré sous le bassin de la douche du domicile en question découpé en neuf morceaux avec des coups sur la tête et des coups de poignard au ventre et au dos. Au cours du procès, la femme a nié tout lien avec le meurtre et a soutenu que son amant l'avait menacé de tuer son fils si elle venait à le dénoncer. Chaque accusé a ainsi nié les faits rejetant la responsabilité sur l'autre.Le parquet qui a souligné le caractère "horrible et prémédité" de l'assassinat de la victime, qui a reçu 7 coups de marteau à l'avant de la tête et deux autres sur la partie postérieure du crâne ainsi que 12 coups de poignards au ventre et au dos avant d'être découpé et enterré au domicile, a requis la peine capitale contre les trois accusés. Le tribunal a néanmoins relaxé le troisième co-accusé B. A. (58 ans) poursuivi dans la même affaire.
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Posté Le : 26/03/2016
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com