Algérie

Peine capitale pour deux terroristes Tribunal criminel près la cour de biskra



Deux individus impliqués dans des crimes terroristes ont été condamnés à la peine capitale lundi par le tribunal criminel près la Cour de Biskra.
Selon des informations recueillies lors de l'audience, l'un des deux condamnés (B. R.) avait lancé le 14 juin 2003 une grenade de fabrication artisanale contre un agent de la sécurité dans la wilaya de Tébessa. L'engin n'avait pas explosé, permettant l'arrestation du mis en cause.
L'enquête avait par la suite révélé que l'auteur de l'attentat faisait partie, avec le second co-accusé (T. M.), arrêté au cours d'une seconde opération, d'un groupe terroriste armé qui activait sur l'axe Tébessa-El Oued sous les ordres du nommé Amari Saïfi, alias Abderrezak El Para.
Selon l'enquête, les mis en cause avaient pris part à plusieurs actes terroristes durant les années 1990, dressant des faux barrages et causant la mort de plusieurs militaires et d'une fillette, fauchée par une bombe à Hassi Khelifa, dans la wilaya d'El Oued.
Le tribunal criminel a suivi le réquisitoire du ministère public qui avait demandé la peine de mort.
Deux individus impliqués dans des crimes terroristes ont été condamnés à la peine capitale lundi par le tribunal criminel près la Cour de Biskra.
Selon des informations recueillies lors de l'audience, l'un des deux condamnés (B. R.) avait lancé le 14 juin 2003 une grenade de fabrication artisanale contre un agent de la sécurité dans la wilaya de Tébessa. L'engin n'avait pas explosé, permettant l'arrestation du mis en cause.
L'enquête avait par la suite révélé que l'auteur de l'attentat faisait partie, avec le second co-accusé (T. M.), arrêté au cours d'une seconde opération, d'un groupe terroriste armé qui activait sur l'axe Tébessa-El Oued sous les ordres du nommé Amari Saïfi, alias Abderrezak El Para.
Selon l'enquête, les mis en cause avaient pris part à plusieurs actes terroristes durant les années 1990, dressant des faux barrages et causant la mort de plusieurs militaires et d'une fillette, fauchée par une bombe à Hassi Khelifa, dans la wilaya d'El Oued.
Le tribunal criminel a suivi le réquisitoire du ministère public qui avait demandé la peine de mort.


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