Le gouvernement provisoire tunisien, particulièrement Ennahda, veut coûte que coûte punir les journalistes corrompus sous l'ère Ben Ali. Il ne s'agit pas seulement de journalistes tunisiens, mais aussi étrangers. Ainsi, le ministre de l'Enseignement supérieur, Moncef Ben Salem, a affirmé, lundi, au cours de sa rencontre avec la communauté tunisienne en Autriche, que certains journalistes, dont les noms figurent sur la liste noire en cours d'élaboration, seraient payés jusqu'à 30 000 dinars tunisiens, indiquant que la source d'un tel revenu est inconnue pour le moment. Moncef Ben Salem a précisé que la liste noire des journalistes comportait plusieurs centaines de noms et que le gouvernement refusait jusqu'ici de la rendre publique.
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Posté Le : 20/09/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Rubrique Radar
Source : www.liberte-algerie.com