Pas de reprise de cours à l'école Ahmed-Azzoues

Si les vacances auront permis aux élèves de se reposer et de se ressourcer, elles n'auront eu aucun effet sur l'entretien de l'école.En tout cas, l'école Ahmed-Azzoues n'a pas bénéficié des travaux de réfection qu'on attendait, dira M. Mimouni, président de l'Association des parents d'élèves. Une association qui dénoncera une multitude de dangers qui pèsent sur l'enfant, aussi bien en classe dont le plafond risque de s'affaisser, faute d'infiltrations des eaux usées, que de hors, avec un environnement hostile et insécurisé. De même que tous le mobilier scolaire est délabré, les fenêtres cassées et l'écriteau de l'école qui a été enlevée, sans remis à sa place à ce jour. C'est pour tout cela que l'APE a décidé de ne pas effectuer la rentrée. Le CEM Boukhelifa n'a pas rouvert à l'occasion de la rentrée de dimanche. Si la raison réside dans l'absence de certains moyens, notamment le transport scolaire, le manque d'internet... L'absence du directeur en est probablement la raison qui cache toutes les autres. Les collégiens ont, en tout cas, été déçus à leur retour des vacances de printemps de ne pas retrouver les bancs. L'habitat rural en pole position Si toutes les autres formules n'ont pas pu encore s'exprimer fortement pour différentes causes (terrains entre autres), l'habitat rural a pu lors du dernier quinquennat enregistres 49 653 aides. 47.541 ont reçu leurs décisions d'éligibilité, 35.322 ont achevé leurs travaux. Par ailleurs, on apprend que 547 décisions ont été annulées, faute, par leurs bénéficiaires de ne pas avoir entamé les travaux, six mois après. Un délai de rigueur est appliqué par la Caisse nationle du logement et sanctionne tous retardataires.