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Pas de Bac politique
Le Bac entame sa dernière ligne droite. Hier, les candidats avaient entamé un sujet d'histoire-géographie pour le 3e jour des examens avec la dernière épreuve sur le sujet de la physique aujourd'hui. Les candidats dans l'ensemble estiment que le Bac de cette année est relativement abordable.Le Bac entame sa dernière ligne droite. Hier, les candidats avaient entamé un sujet d'histoire-géographie pour le 3e jour des examens avec la dernière épreuve sur le sujet de la physique aujourd'hui. Les candidats dans l'ensemble estiment que le Bac de cette année est relativement abordable.Les épreuves du Bac 2015 se sont achevées avec un sentiment général de soulagement après avoir affronté pendant 4 jours des sujets jugés pour les uns "abordables" alors que d'autres les ont estimé assez "difficiles". Quoi qu'il en soit, il ressort de cette session de juin un Bac particulier.Si le sujet de la fraude de certains candidats est sur toutes les lèvres, rien n'empêche que les candidats attendent les résultas qui seront publiés le 10 juillet prochain. Tout le monde cultive l'espoir de décrocher le fameux sésame qui pourrait ouvrir des horizons à ces milliers de candidats qui se sont donnés à fond pour passer le test le plus important de leur scolarité.La ministre de l'Education Nouria Benghebrit a annoncé la couleur bien avant le début des épreuves en soulignant que le Bac de cette année ne sera pas "politique" faisant allusion à un large taux de réussite pour les candidats. En effet, il y a cette année comme un mystère. Quel taux faut-il retenir ' Le plus gros ou celui minimum. Là il n'y a le besoin de spéculer. Mais ce qu'il faut retenir c'est que la plupart des sujets du Bac ont été relevés sur les cours dispensés pendant l'année de scolarité.Il y a particulièrement l'épreuve de maths et de philosophie pour les branches lettres et langues qui a été perçue par les candidats comme difficile ou "compliquée". Certains candidats n'ont pas géré leurs émotions aupoint que quelques uns sont tombés en syncope dès qu'ils ont lu la copie. Une situation de stress que certains affrontent avec difficulté.Et là encore, le ministère avait parlé de cellules d'écoute pour la gestion du stress des examens. La plupart des candidats interrogés sur ce sujet ne savent qui joindre s'ils éprouvent des blocages face aux réponses ou s'ils ont peur du syndrome de la "feuille blanche".C'est dire que dans une telle situation, il est indispensable d'avoir de l'assurance et de la confiance en soi. Un travail qui devrait être mené par des équipes de psychologues spécialisés. Mais ce qu'il faut noter, c'est que sur les réseaux sociaux, des initiatives sous forme de clubs ou forums ont été organisées de telle sorte que les candidats puissent réviser, trouver la bonne méthode pour les réponses ou travailler les sujets réputés difficiles.Les craintes des parents d'élèvesLes parents d'élèves s'inquiètent de la tournure qu'a prise le Bac 2015. Avec des épreuves entachées de "triche" via Internet et des fraudeurs débusqués, les parents de candidats justifient des appréhensions sur le déroulement de la session de juin 2015. Les réactions ne vont certes pas manquer durant ces jours et l'annonce des résultats en juillet est attendue avec des commentaires sur le taux de réussite ou d'échec des candidats.La ministre de l'Education qui fait son deuxième test pour la conduite du Bac fait montre d'indifférence sur ces détails qui ont perturbé le déroulement des examens. Mais en général sauf quelques cas précis, ces conditions ont été normales dans un contexte où la ministre parle de "revalorisation du Bac" et de redéployer les efforts sur la qualité de l'enseignement dans le cycle secondaire. Un projet qui sera long et fastidieux pour l'équipe Benghebrit.Réforme de l'OnecL'Office national des examens et concours est pointé du doigt sur la gestion du Bac de cette année. La ministre a déclaré que l'Office est, bel et bien, le responsable du déroulement de l'examen, l'ouverture des copies dans les salles d'examens et le secret qui doit préserver de toute « fuite » de sujets. Medjadi Messeguem, qui est inspecteur général au ministère de l'Education a accusé carrément l'Onec sur cette situation."C'est le contrôle où les choses n'ont pas fonctionné". Il trouve "inadmissibles" et "impardonnables" les erreurs dans les sujets d'arabe du premier jour. Ace propos, il estime "la réforme dans les plus brefs délais" de cet organisme dont il souligne le caractère "lent et bureaucratique". Il est à coup sûr que des têtes vont tomber suite à ces "fâcheux incidents" qui ont porté sur la crédibilité du Bac. Face à une situation que doit gérer le ministère et ses annexes, le débat peut déborder de son cadre et éventuellement les adversaires de Benghebrit n'attendent que cela.Les épreuves du Bac 2015 se sont achevées avec un sentiment général de soulagement après avoir affronté pendant 4 jours des sujets jugés pour les uns "abordables" alors que d'autres les ont estimé assez "difficiles". Quoi qu'il en soit, il ressort de cette session de juin un Bac particulier.Si le sujet de la fraude de certains candidats est sur toutes les lèvres, rien n'empêche que les candidats attendent les résultas qui seront publiés le 10 juillet prochain. Tout le monde cultive l'espoir de décrocher le fameux sésame qui pourrait ouvrir des horizons à ces milliers de candidats qui se sont donnés à fond pour passer le test le plus important de leur scolarité.La ministre de l'Education Nouria Benghebrit a annoncé la couleur bien avant le début des épreuves en soulignant que le Bac de cette année ne sera pas "politique" faisant allusion à un large taux de réussite pour les candidats. En effet, il y a cette année comme un mystère. Quel taux faut-il retenir ' Le plus gros ou celui minimum. Là il n'y a le besoin de spéculer. Mais ce qu'il faut retenir c'est que la plupart des sujets du Bac ont été relevés sur les cours dispensés pendant l'année de scolarité.Il y a particulièrement l'épreuve de maths et de philosophie pour les branches lettres et langues qui a été perçue par les candidats comme difficile ou "compliquée". Certains candidats n'ont pas géré leurs émotions aupoint que quelques uns sont tombés en syncope dès qu'ils ont lu la copie. Une situation de stress que certains affrontent avec difficulté.Et là encore, le ministère avait parlé de cellules d'écoute pour la gestion du stress des examens. La plupart des candidats interrogés sur ce sujet ne savent qui joindre s'ils éprouvent des blocages face aux réponses ou s'ils ont peur du syndrome de la "feuille blanche".C'est dire que dans une telle situation, il est indispensable d'avoir de l'assurance et de la confiance en soi. Un travail qui devrait être mené par des équipes de psychologues spécialisés. Mais ce qu'il faut noter, c'est que sur les réseaux sociaux, des initiatives sous forme de clubs ou forums ont été organisées de telle sorte que les candidats puissent réviser, trouver la bonne méthode pour les réponses ou travailler les sujets réputés difficiles.Les craintes des parents d'élèvesLes parents d'élèves s'inquiètent de la tournure qu'a prise le Bac 2015. Avec des épreuves entachées de "triche" via Internet et des fraudeurs débusqués, les parents de candidats justifient des appréhensions sur le déroulement de la session de juin 2015. Les réactions ne vont certes pas manquer durant ces jours et l'annonce des résultats en juillet est attendue avec des commentaires sur le taux de réussite ou d'échec des candidats.La ministre de l'Education qui fait son deuxième test pour la conduite du Bac fait montre d'indifférence sur ces détails qui ont perturbé le déroulement des examens. Mais en général sauf quelques cas précis, ces conditions ont été normales dans un contexte où la ministre parle de "revalorisation du Bac" et de redéployer les efforts sur la qualité de l'enseignement dans le cycle secondaire. Un projet qui sera long et fastidieux pour l'équipe Benghebrit.Réforme de l'OnecL'Office national des examens et concours est pointé du doigt sur la gestion du Bac de cette année. La ministre a déclaré que l'Office est, bel et bien, le responsable du déroulement de l'examen, l'ouverture des copies dans les salles d'examens et le secret qui doit préserver de toute « fuite » de sujets. Medjadi Messeguem, qui est inspecteur général au ministère de l'Education a accusé carrément l'Onec sur cette situation."C'est le contrôle où les choses n'ont pas fonctionné". Il trouve "inadmissibles" et "impardonnables" les erreurs dans les sujets d'arabe du premier jour. Ace propos, il estime "la réforme dans les plus brefs délais" de cet organisme dont il souligne le caractère "lent et bureaucratique". Il est à coup sûr que des têtes vont tomber suite à ces "fâcheux incidents" qui ont porté sur la crédibilité du Bac. Face à une situation que doit gérer le ministère et ses annexes, le débat peut déborder de son cadre et éventuellement les adversaires de Benghebrit n'attendent que cela.




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