Algérie - Revue de Presse


 Zakane El Hadi, contrôleur principal : « Alger-Béjaïa est sans conteste la ligne la plus dangereuse du réseau national. Après le terrorisme, les jets de pierre et les passages à niveau non gardés posent encore problème. » Tout comme son collègue, Salhi Mohamed Améziane, chef de train, les voyageurs de la ligne sont « les meilleurs voyageurs qu'ils n'ont jamais vus » en trente et un ans de service. Mais pour l'équipage, la vie n'est pas simple. Pour se rendre à leur poste, très tôt ou très tard, Salhi et les autres sont contraints parfois de faire l'autostop. « Nous avons une indemnisation de transport de 900 DA et nous sommes payés à 37 DA pour chaque heures supplémentaire. » Ami Rachid, chef de train : Assurant le service pendant trente longues années, ammi Rachid est l'un des rescapés de la bombe qui avait ciblé le train de marchandises assurant la correspondance Alger-Béjaïa au niveau de Kadiria. Comme les passagers et ses collègues, il est enchanté par le nouvel autorail « plus confortable et plus sécurisé ».


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