Algérie

P'dophiles pervers



P'dophiles pervers
Cauchemar - Enlevée par un pervers, à un kilomètre seulement de son domicile, séquestrée pendant 20 ans dans une cave et abusée pendant tout ce temps, elle n'avait le droit de voir ni le ciel ni le soleil.La France n'est pas épargnée par ces voyous qui échappent à toute logique. Selon des chercheurs, ils seraient dépourvus de tout sentiment du bien et du mal. Ils ne font même pas la différence entre l'un et l'autre.
Tout le monde a en tête ce vieux chauffeur de bus scolaire d'apparence inoffensive, plusieurs fois grand-père et qui a pourtant tué cinq adolescentes après leur avoir fait subir les pires sévices et les avoir violées en France.
Tout le monde a aussi en tête l'affaire Dutrou en Belgique qui a failli provoquer l'écroulement de tout le gouvernement. Ce pédophile, aidé par sa femme, avait violé, séquestré et tué plusieurs jeunes femmes sans que les voisins ou la police soupçonnent quoi que que ce soit. Par ailleurs, tout le monde a en tête, peut-être, cette incroyable aventure vécue par une fille de 14 ans, à Vienne.
Enlevée par un pervers, à un kilomètre seulement de son domicile, séquestrée pendant 20 ans dans une cave et abusée pendant tout ce temps, elle n'avait le droit de voir ni le ciel ni le soleil. Elle ne devra son salut qu'à une porte entrebâillée que son bourreau avait oublié de fermer. L'affaire a fait grand bruit en Autriche. Elle a même traumatisé la population.
Et notre pays, est-il protégé, pour autant, contre ce genre de démence ' Pas du tout. Si des sérial killers ne courent pas les rues, du moins à notre connaissance, il y en a un que tout le monde a certainement oublié et qui a fait pourtant parler de lui pendant des mois à Oran. Il s'agit de Dahou Saïd. C'est un personnage insignifiant qui mesurait à peine 1m 60. Marié et père de famille, il coulait, dans la banlieue Ouest d'Oran, une vie paisible et calme se contentant de petits boulots. C'est à partir de 1967 que tout a basculé dans sa tête. Pourquoi ' Difficile de le savoir. Sûrement l'appât du gain facile et la tranquillité d'une ville que rien ne vient perturber. Ses cibles ' Des femmes seules, commerçantes de préférence ! Son arme ' Un pilon. Son heure de prédilection ' La mi-journée, au moment où les enfants sont à l'école et les pères au travail. Son stratagème ' Se faire passer pour un agent de Sonelgaz venu faire des relevés et ce, pour n'éveiller aucun soupçon et avoir facilement accès aux intérieurs. Et c'est ainsi qu'il réduira au silence une bonne douzaine de femmes.
La psychose s'est emparée de tous les habitants de la ville, y compris les hommes. Ce seront les cris de sa dernière victime, au quartier de Protin, qui attireront l'attention des voisins. L'homme pervers finira par se rendre à la foule déchaînée sans opposer la moindre résistance. Il sera fusillé à Canastel, au terme d'un procès qui fera tripler le chiffre de vente du petit journal de l'époque, La République. Ce «courageux» serial killer aurait fait dans son froc, au moment de son exécution, pleurant comme un bébé selon un ancien magistrat qui a assisté à la scène.


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