Algérie

Ouyahia est contre



Ouyahia est contre
Pour la énième fois, dans un discours prononcé à l'occasion de l'ouverture du Conseil national du parti à Zeralda, le chef du RND Ahmed Ouyahia a accusé hier, la main étrangère de vouloir déstabiliser l'Algérie.Pour la énième fois, dans un discours prononcé à l'occasion de l'ouverture du Conseil national du parti à Zeralda, le chef du RND Ahmed Ouyahia a accusé hier, la main étrangère de vouloir déstabiliser l'Algérie.«Ces complots sont colportés par deux parties. La première n'a jamais accepté l'indépendance de l'Algérie et la deuxième reproche à notre pays ses positions pour l'autodétermination du peuple sahraoui », dit-il.« Ces parties, souligne Ouyahia, s'appuient sur des mercenaires politiques internes (...) ceux qui revendiquent l'autodétermination de la Kabylie et de la région du M'zab». Le second « défi » majeur auquel est confronté notre pays réside dans l'effondrement brutal des prix du pétrole sur le marché mondial.Si les décisions financières prises par le président de la République durant la décennie précédente « permettent à notre pays d'avoir une légère marge de manoeuvre encore, et même si le gouvernement déploie des efforts méritoires pour gérer cette situation tendue avec le minimum de conséquences encore », il est important de son point de vue « de ne pas négliger les risques qui découlent de cette conjoncture ».Ouyahia, qui un mois auparavant et au lendemain de sa reconduction, n'a pas écarté le recours à la dette extérieure révise sa copie aujourd'hui et pense que cette démarche comporte beaucoup de risques.« Nous ne devons pas céder aux appels aux solutions de facilités dont le recours à l'endettement extérieur, lequel, en cas d'excès, pourrait dans quelques années hypothéquer la souveraineté économique du pays et exposer la population à des mesures sociales dramatiques », plaide-til. L'Algérie dispose de plusieurs solutions alternatives lui permettant de faire face à l'effondrement des cours de pétrole.« Il faut encourager l'investissement privé et public , ouvrir l'économie aux nationaux et aux étrangers et lever les obstacles ». Par ailleurs, le SG du RND a invité les Algériens et les observateurs à ne pas se réjouir de la hausse du prix du pétrole à 50 dollars. « Nous avons besoin d'un baril à 90 dollars pour créer un équilibre budgétaire », a-t-il averti. Sur un autre chapitre, Ouyahia pense que le consensus avec l'opposition « est encore loin » mais pas impossible.«Ces complots sont colportés par deux parties. La première n'a jamais accepté l'indépendance de l'Algérie et la deuxième reproche à notre pays ses positions pour l'autodétermination du peuple sahraoui », dit-il.« Ces parties, souligne Ouyahia, s'appuient sur des mercenaires politiques internes (...) ceux qui revendiquent l'autodétermination de la Kabylie et de la région du M'zab». Le second « défi » majeur auquel est confronté notre pays réside dans l'effondrement brutal des prix du pétrole sur le marché mondial.Si les décisions financières prises par le président de la République durant la décennie précédente « permettent à notre pays d'avoir une légère marge de manoeuvre encore, et même si le gouvernement déploie des efforts méritoires pour gérer cette situation tendue avec le minimum de conséquences encore », il est important de son point de vue « de ne pas négliger les risques qui découlent de cette conjoncture ».Ouyahia, qui un mois auparavant et au lendemain de sa reconduction, n'a pas écarté le recours à la dette extérieure révise sa copie aujourd'hui et pense que cette démarche comporte beaucoup de risques.« Nous ne devons pas céder aux appels aux solutions de facilités dont le recours à l'endettement extérieur, lequel, en cas d'excès, pourrait dans quelques années hypothéquer la souveraineté économique du pays et exposer la population à des mesures sociales dramatiques », plaide-til. L'Algérie dispose de plusieurs solutions alternatives lui permettant de faire face à l'effondrement des cours de pétrole.« Il faut encourager l'investissement privé et public , ouvrir l'économie aux nationaux et aux étrangers et lever les obstacles ». Par ailleurs, le SG du RND a invité les Algériens et les observateurs à ne pas se réjouir de la hausse du prix du pétrole à 50 dollars. « Nous avons besoin d'un baril à 90 dollars pour créer un équilibre budgétaire », a-t-il averti. Sur un autre chapitre, Ouyahia pense que le consensus avec l'opposition « est encore loin » mais pas impossible.


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