Algérie

Ould-Abbès rompt le silence: "Je suis toujours le SG du FLN"



L'ex-secrétaire général du FLN, Djamel Ould-Abbès ,a bien choisi le moment pour rompre son silence, en annonçant son retourL'ex-secrétaire général du FLN, Djamel Ould-Abbès ,a bien choisi le moment pour rompre son silence, en annonçant son retour
à la tête du parti ou c'est, du moins, ce que laisse entendre sa déclaration à la presse, hier mard, en marge des travaux de la réunion des deux chambres du Parlement, qui se tenait au Palais des nations pour validerla nomination d'Abdelkader Bensalah au poste de chef d'Etat par intérim. "Je suistoujours le secrétaire général du parti !", a-t-il lancé. Avant de s'adresser aux journalistes: "Avez-vous déjà vu ma démission ' Je suis secrétaire général depuis le 22octobre 2016", date à laquelle l'ancien secrétaire général, Amar Saïdani, avait démissionné,et
Djamel Ould-Abbès désigné aussitôt à sa succession, par une majorité desmembres du comité central du parti. Ould-Abbès a refusé de répondre à la question d'un journaliste, de savoir s'il avait subi les pressions des "forces extra-constitutionnelles", pour reprendre un concept en vogue, mais il a promis de faire des révélations, sur les circonstances dans lesquelles avait eu lieu, il y a cinqmoins, le "putsch", dont il a été victime et qui a porté Mouad Bouchareb à la tête d'une instance de direction.
à la tête du parti ou c'est, du moins, ce que laisse entendre sa déclaration à la presse, hier mard, en marge des travaux de la réunion des deux chambres du Parlement, qui se tenait au Palais des nations pour validerla nomination d'Abdelkader Bensalah au poste de chef d'Etat par intérim. "Je suistoujours le secrétaire général du parti !", a-t-il lancé. Avant de s'adresser aux journalistes: "Avez-vous déjà vu ma démission ' Je suis secrétaire général depuis le 22octobre 2016", date à laquelle l'ancien secrétaire général, Amar Saïdani, avait démissionné,et
Djamel Ould-Abbès désigné aussitôt à sa succession, par une majorité desmembres du comité central du parti. Ould-Abbès a refusé de répondre à la question d'un journaliste, de savoir s'il avait subi les pressions des "forces extra-constitutionnelles", pour reprendre un concept en vogue, mais il a promis de faire des révélations, sur les circonstances dans lesquelles avait eu lieu, il y a cinqmoins, le "putsch", dont il a été victime et qui a porté Mouad Bouchareb à la tête d'une instance de direction.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)