Algérie

Ould Abbès : «Je refuse le chantage»


Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, et des syndicats du secteur de la santé ont réitéré jeudi à Alger leur "disponibilité" à privilégier le dialogue en vue de parvenir au règlement de tous les problèmes posés.La poursuite du dialogue au sein d'un secteur qualifié de "sensible", a été réaffirmée par M. Ould Abbès et les représentants de la Fédération nationale des travailleurs de la santé (FNTS) et le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) à l'occasion de deux réunions successives tenues au siège du ministère.
"Nous poursuivons le dialogue, entamé depuis une année et demi, et jamais rompu", a indiqué M. Ould Abbès lors de cette réunion d'évaluation de ce qui été entrepris et réalisé en matière de revalorisation des salaires et de promulgation des statuts des personnels de la santé.
"Une bonne partie des problèmes qui étaient posés dans le secteur ont pu être réglés par le dialogue et dans la sérénité", a ajouté le ministre, faisant observer que le secteur de la santé est "très sensible" dans la mesure où il touche l'ensemble des populations.
«Le secteur de la santé est le trosième employeur en Algérie avec 275.000 employés, après l'Education nationale et l'Intérieur, d'où l'importance du dialogue", a souligné M. Ould Abbès.
«Je refuse le chantage et que le malade soit pris en otage", a-t-il dit cependant, rappelant que le rôle du ministère consiste en la "préservation" des droits du malade.
Affirmant que la grève dans le secteur de la santé est "inacceptable", il a indique que ceux qui ont recouru à la grève "doivent assumer leurs responsabilité" et "la loi sera appliquée".
De son côté, le secrétaire général de la FNTS, Salah Rouaibia, a déclaré que plusieurs points en suspens ont été déjà solutionnés, en attendant le règlement d'autres points qui est sur la "bonne voie".
«Nous nous félicitons de la poursuite du dialogue avec le ministère", a souligné M. Rouaibia, appelant à "privilégier" la concertation entre les différentes parties.
Le secrétaire général du SAP, Lounès Ghachi, a abondé dans le même sens en qualifiant la rencontre avec le ministre de la Santé de "positive", car elle a permis de "résoudre des problèmes qui étaient restés en suspens".
M. Ghachi a précisé que d'autres rencontres avec les responsables du ministère de la Santé sont prévues prochainement afin de "régler tous les problèmes".
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, et des syndicats du secteur de la santé ont réitéré jeudi à Alger leur "disponibilité" à privilégier le dialogue en vue de parvenir au règlement de tous les problèmes posés.
La poursuite du dialogue au sein d'un secteur qualifié de "sensible", a été réaffirmée par M. Ould Abbès et les représentants de la Fédération nationale des travailleurs de la santé (FNTS) et le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) à l'occasion de deux réunions successives tenues au siège du ministère.
"Nous poursuivons le dialogue, entamé depuis une année et demi, et jamais rompu", a indiqué M. Ould Abbès lors de cette réunion d'évaluation de ce qui été entrepris et réalisé en matière de revalorisation des salaires et de promulgation des statuts des personnels de la santé.
"Une bonne partie des problèmes qui étaient posés dans le secteur ont pu être réglés par le dialogue et dans la sérénité", a ajouté le ministre, faisant observer que le secteur de la santé est "très sensible" dans la mesure où il touche l'ensemble des populations.
«Le secteur de la santé est le trosième employeur en Algérie avec 275.000 employés, après l'Education nationale et l'Intérieur, d'où l'importance du dialogue", a souligné M. Ould Abbès.
«Je refuse le chantage et que le malade soit pris en otage", a-t-il dit cependant, rappelant que le rôle du ministère consiste en la "préservation" des droits du malade.
Affirmant que la grève dans le secteur de la santé est "inacceptable", il a indique que ceux qui ont recouru à la grève "doivent assumer leurs responsabilité" et "la loi sera appliquée".
De son côté, le secrétaire général de la FNTS, Salah Rouaibia, a déclaré que plusieurs points en suspens ont été déjà solutionnés, en attendant le règlement d'autres points qui est sur la "bonne voie".
«Nous nous félicitons de la poursuite du dialogue avec le ministère", a souligné M. Rouaibia, appelant à "privilégier" la concertation entre les différentes parties.
Le secrétaire général du SAP, Lounès Ghachi, a abondé dans le même sens en qualifiant la rencontre avec le ministre de la Santé de "positive", car elle a permis de "résoudre des problèmes qui étaient restés en suspens".
M. Ghachi a précisé que d'autres rencontres avec les responsables du ministère de la Santé sont prévues prochainement afin de "régler tous les problèmes".