Algérie

Oukazi Fatma-Zohra (GS Pétroliers) major de la promotion 2013



Oukazi Fatma-Zohra (GS Pétroliers) major de la promotion 2013
Les ex-joueuses de l'EN de volley-ball ont passé récemment, le stage d'entraîneur 1er degré international, qui s'est déroulé dernièrement au niveau de l'Institut technologie du sport, Abdellah Fadel d'Aïn Bénian (Alger)Ce stage, la première du genre en Algérie pour les 24 candidates, réservé en priorité aux ex-joueuses de l'EN de volley-ball, fut organisé sous l'égide du CIO (Comité olympique internationale) par le Comité olympique algérien en étroite partenariat avec la FIVB (Fédération internationale de volley-ball) et la FAVB. Il a été encadré par deux experts algériens , des instructeurs au sein de la Fédération internationale de volley-ball M. Abdelkader Ould Amar (ex-directeur général des sports au Mjs) et Mohamed Hasni (directeur laboratoire sportif) qui sont actuellement, des enseignants au niveau de l'école nationale supérieure en sciences et technologie du sport de Dély-Brahim (Alger, ex-INFS/STS). Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Tahmi, a présidé la cérémonie de clôture en présence du président du Comité olympique, Mustapha Berraf et de son staff à savoir, Hassiba Boumerka (championne olympique), Izem Hafid, Abderrahmane Hammad (coa), du président de la Fédération algérienne de volley-ball Gougam Okba ainsi que de Khallef, le directeur de l'infs d'Aïn Bénian au cours de laquelle Mohamed Tahmi a remis l'attestation à la major de la promotion 2013, à savoir la joueuse internationale Oukazi Fatma-Zohra (GS Pétroliers), qui est arrivée à concilier le sport de haut niveau parmi les meilleures passeuses du monde et ses études supérieures, elle est licenciée en commerce et marketing à 29 ans, 1,75 m il a fait partie de prés de 90 sélections. Grâce à ses performances, la fille de Chlef a été sollicitée par plusieurs clubs européens, mais elle a préféré rester en Algérie. L'objectif de ce stage est la réinsertion des anciens athlètes «qui doit se faire par le biais de programmes spécifiques de solidarité». La carrière d'un sportif est très courte. Donc, il est très urgent de prévoir quelque chose pour l'après sport de ces athlètes, assurer leur réinsertion dans la vie active et professionnelle et les intégrer dans le corps des éducateurs sportifs. Ce genre de programmes est pour la reconversion de nos champions qui, dans un passé non lointain, avaient honoré le sport algérien à l'exemple édifiant des volleyeuses algériennes qui se sont qualifiées deux fois consécutivement aux jeux olympiques 2008 et 2010. Elles s'étaient sacrifiées durant leur carrière au détriment de leur vie professionnelle. Maintenant, il faut les aider à réintégrer la vie active pour subvenir aux besoins de leurs familles et conclure d'autres initiatives entreprises par le COA envers le CIO (Comité internationale olympique) et FI (fédérations internationales) en vue de faire participer les anciens sportifs algériens à des stages techniques pour le diplôme d'entraîneurs internationaux de 1er degré (financé par le CIO) après le premier stage qui a concerné le volley-ball. Le prochain est prévu en 2014 pour le handball, le 3e pour le basket-ball (2015) et le dernier destiné au footballeur (2016).




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