Algérie

Oukaour Samir. Doctorant à Alger 2. Littérature française



Oukaour Samir. Doctorant à Alger 2. Littérature française
Apporter de nouvelles dispositions à l'arrêté exécutif est une chose, les mettre à exécution en est une autre. En lisant cet arrêté, on pourrait détecter des incohérences et des anomalies qui ont, malheureusement, cours depuis belle lurette.Dans l'article 3, il est dit que «la formation doctorale est organisée selon un plan annuel élaboré par la direction générale des enseignements? et la direction du budget, des moyens et du contrôle de gestion.» La réalité nous montre que cet article est partialement et iniquement appliqué. En effet, cet article ne tient nullement compte des doctorants lésés dans leurs droits les plus légitimes : l'accès à la bourse (en Algérie ou à l'étranger) et l'accès à la chambre universitaire.Parce qu'ils sont salariés ou bien retraités, ils sont considérés comme autosuffisants. Par ailleurs, je trouve scandaleux de ne pas remplacer un candidat qui a décidé de se désister de son poste de doctorant, sous prétexte que le délai fatidique de quinze jours est dépassé comme le dit clairement l'article 16. Toutefois cet arrêté apporte une bonne disposition inscrite dans l'article 19, à savoir l'accord d'une dérogation de deux années, celles-ci «font partie de la durée légale de la formation de troisième cycle». Je pose cette question : l'université algérienne est-elle éternellement condamnée aux errements '


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