Algérie

Oublié des pouvoirs publics



Oublié des pouvoirs publics
Même si la pratique reste encore marginale en Algérie, ils sont nombreux les «prestataires» que nous avons rencontrés qui nous affirment que «les pouvoirs publics devraient trouver les mécanismes pour encadrer ce nouveau mode d'organisation du travail, notamment en l'incluant dans les différents plans de soutien mis en 'uvre visant à rebooster l'emploi». Que ce soit au titre d'une activité visant une collaboration avec des entreprises locales en «B to B», (en termes de rentabilité, selon certaines études, «la productivité des télétravailleurs serait de 20 à 25 % supérieure à celle des autres salariés en entreprise»), mais aussi en encadrant l'activité dans le sens d'une collaboration avec des entreprises étrangères. D'autant que sans encadrement c'est à une exploitation en règle que sont exposés ces jeunes. Ces derniers ne pouvant bénéficier de contrats en bonne et due forme (du fait de l'absence d'un cadre légal), sont souvent exploités et exposés à tout un tas de pressions dues à l'absence de contrat de ces entreprises. Il est en effet tellement plus facile à ces dernières de se séparer d'un prestataire de services «non reconnu par le droit du travail», que de licencier de «vrais» salariés.


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