Le président ivoirien a créé la surprise en prononçant la dissolution du gouvernement mis en place en mars dernier. Depuis quelques semaines déjà en Côte d'Ivoire, les rumeurs de remaniement de l'équipe installée au pouvoir depuis mars allaient bon train. Mais la décision, mercredi, du président Alassane Ouattara de dissoudre son gouvernement a créé une véritable surprise dans le pays. «On ne s'y attendait pas du tout», assure un conseiller d'un ministre du gouvernement dirigé par Jeannot Kouadio-Ahoussou.
Officiellement, la dissolution est le fruit d'une mésentente au sein de la coalition au pouvoir qui unit le Rassemblement des républicains (RDR) d'Alassane Ouattara et le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) de l'ancien président Henri Konan Bédié. Cette union avait permis de battre la formation de Laurent Gbagbo lors du scrutin de 2010 et de tenir bon lors de la longue crise postélectorale qui fit plus de 3.000 morts. Selon la présidence, le PDCI ainsi qu'un petit groupe satellite, l'UDPCI ont voté mardi en commission de l'Assemblée nationale contre un projet de loi sur le mariage approuvé en Conseil des ministres. «Cela posait un problème de cohérence», soulignait-on à la présidence pour expliquer la décision du chef de l'Etat.
Le président ivoirien a créé la surprise en prononçant la dissolution du gouvernement mis en place en mars dernier. Depuis quelques semaines déjà en Côte d'Ivoire, les rumeurs de remaniement de l'équipe installée au pouvoir depuis mars allaient bon train. Mais la décision, mercredi, du président Alassane Ouattara de dissoudre son gouvernement a créé une véritable surprise dans le pays. «On ne s'y attendait pas du tout», assure un conseiller d'un ministre du gouvernement dirigé par Jeannot Kouadio-Ahoussou.
Officiellement, la dissolution est le fruit d'une mésentente au sein de la coalition au pouvoir qui unit le Rassemblement des républicains (RDR) d'Alassane Ouattara et le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) de l'ancien président Henri Konan Bédié. Cette union avait permis de battre la formation de Laurent Gbagbo lors du scrutin de 2010 et de tenir bon lors de la longue crise postélectorale qui fit plus de 3.000 morts. Selon la présidence, le PDCI ainsi qu'un petit groupe satellite, l'UDPCI ont voté mardi en commission de l'Assemblée nationale contre un projet de loi sur le mariage approuvé en Conseil des ministres. «Cela posait un problème de cohérence», soulignait-on à la présidence pour expliquer la décision du chef de l'Etat.
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Posté Le : 17/11/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R I
Source : www.lemidi-dz.com