Avec le changement climatique de la planète et son influence directe sur le dérèglement des pluies qui se sont transformées de bruine en orage, la ville de Mostaganem n'est guère épargnée par le courroux de la nature qui peut à n'importe quel moment de la saison lâcher ses torrents de pluies si ce n'est la miséricorde divine.
La ville de Mostaganem peut être au bout du gouffre et connaitre les pires inondations qu'avaient connues de par le passé. Les pouvoirs publics au lieu de trop méditer à des subtilités et parfois à rien doivent impérativement débattre ce problème avec minutie et intelligence afin de débarrasser le citoyen de son angoisse à chaque fois que la pluie commence à tomber du ciel. Dans ce contexte, il y a lieu de faire un tour aux différents quartiers de la ville et tenter de s'enquérir de l'état des évacuations des eaux pluviales qui offrent dans leur majorité un spectacle de désolation et d'hystérie pour ce laisser aller des responsables locaux devenus source de critiques et de problème de la cité. Il suffit qu'il bruine, qu'il pleuvote où qu'il pleuve, pour s'en apercevoir du gâchis cumulés pendant des générations de responsabilité imméritée. Il suffit de quelques gouttelettes de pluie pour que nos rues et ruelles deviennent dans certains quartiers impraticables pour les riverains d'une part et pour le flux de voitures que la ville de Mostaganem ne peut contenir vue l'immensité du parc qui ne cesse de grandir et étouffer tout ce qui bouge et respire. Au moindre caprice du ciel et toutes les anomalies accumulées que l'on peut remarquer en temps ordinaire surgit en réalité et désolent ce citoyen qui ne peut jouer que le badaud face à ce spectacle amer et de désolation qui met en péril la vie de toute une population. C'est le même refrain qui se dégage à chaque intempérie à l'exemple des dernières chutes de pluies qui se sont abattues ces derniers jours dans l'ouest du pays et plus particulièrement dans la ville de Mostaganem et qui ont mis à nu le réseau d'évacuation des eaux pluviales qui ont été à l'origine de quelques inondations au niveau de plusieurs quartiers de la ville notamment au centre ville où l'anarchie et le désordre l'avait remporté sur la civilité et le bon sens. Comme un malheur ne vient jamais seul, après qu'il ait plu, de grosses flaques d'eaux et de sables se sont cumulés à l'entrée de la plage de « Sidi Mejdoub » à proximité de la station d'épuration de la cité 544 lotissements sise à Kharouba où deux véhicules légers, leurs conducteurs ont traversé la route comme à l'accoutumée et se sont retrouvés en face de l'eau boueuse parce que ce dernier est situé en aval d'une colline sablonneuse, ce qui a donné lieu à des questions sur cet état. Qui est responsable et à qui se plaindre '
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Posté Le : 10/11/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : M Touati
Source : www.reflexiondz.net