L'aide promise de 6.000 DA, qui devait remplacer le couffindu Ramadhan, n'a pas étésystématique durant ce mois.Des milliers de famillesattendent en effet ceversement, sous forme dechèque. Mais, la réalité esttout autre, puisque les classesdéshéritées se résignent àdes repas dans lesrestaurants Rahma.L'aide promise de 6.000 DA, qui devait remplacer le couffindu Ramadhan, n'a pas étésystématique durant ce mois.Des milliers de famillesattendent en effet ceversement, sous forme dechèque. Mais, la réalité esttout autre, puisque les classesdéshéritées se résignent àdes repas dans lesrestaurants Rahma.
Il y a juste quelques semaines, la ministre de la Solidarité nationale, GhaniaEddalia, avait promis que le "gouvernementallait instituer l'aide de 6.000 DA, au lieu du couffin du Ramadhan".Ce dernier devait être supprimé, au profitd'une aide financière que l'Etat devaitconsacrer aux familles les plus pauvres.Or, on apprend de la part de familles rencontréesdevant le siège de l'APC d'Alger-centre, que "l'argent versé sousforme d'aide, ne nous a pas été donné".Que se passe-t-il ' Ces témoins qui sontenregistrés dans le fichier social de lacommune sont considérés comme bénéficiairesde cette allocation.
C'est plutôt lecontraire, car la plupart attendaient tranquillementla réception des denrées alimentairesde base pour les repas duF'tour, alors que d'autres préféraientattendre jusqu'à 16 heures, pour recevoirleurs quotas.Dans d'autres régions, aucun communiquéofficiel de la part du gouvernement,n'a fait mention de cette opération et dans quelle mesure l'aide devait être accordéeet de ne pas avoir préciser le nombre des personnes établies sur les listes"sociales" des communes. Par contre, ona annoncé seulement, que les titulaires decompte CCP parmi les citoyens démunis,pouvaient encaisser cette aide via lesinformations communiquées aux différentesAPC.
Jusque-là, quelques virementsont été effectués, alors que d'autresattendent toujours.Dans l'ensemble, cette aide instituée nesuffit pas de faire face aux besoins alimentaires,qui deviennent excessifs durantle mois de carême. Pour la plupart desfamilles aux faibles revenus, "6.000 DAn'est pas la somme indiquée pour faire lesemplettes durant le Ramadhan", dénoncentles citoyens rencontrés.Une somme d'ailleurs qui ne correspondaucunement avec la réalité des prix qui necesse d'augmenter devenant intenable.Face à cette situation, il est urgent derevoir ce dispositif, pour le faire adapteraux vrais besoins des pauvres
Il y a juste quelques semaines, la ministre de la Solidarité nationale, GhaniaEddalia, avait promis que le "gouvernementallait instituer l'aide de 6.000 DA, au lieu du couffin du Ramadhan".Ce dernier devait être supprimé, au profitd'une aide financière que l'Etat devaitconsacrer aux familles les plus pauvres.Or, on apprend de la part de familles rencontréesdevant le siège de l'APC d'Alger-centre, que "l'argent versé sousforme d'aide, ne nous a pas été donné".Que se passe-t-il ' Ces témoins qui sontenregistrés dans le fichier social de lacommune sont considérés comme bénéficiairesde cette allocation.
C'est plutôt lecontraire, car la plupart attendaient tranquillementla réception des denrées alimentairesde base pour les repas duF'tour, alors que d'autres préféraientattendre jusqu'à 16 heures, pour recevoirleurs quotas.Dans d'autres régions, aucun communiquéofficiel de la part du gouvernement,n'a fait mention de cette opération et dans quelle mesure l'aide devait être accordéeet de ne pas avoir préciser le nombre des personnes établies sur les listes"sociales" des communes. Par contre, ona annoncé seulement, que les titulaires decompte CCP parmi les citoyens démunis,pouvaient encaisser cette aide via lesinformations communiquées aux différentesAPC.
Jusque-là, quelques virementsont été effectués, alors que d'autresattendent toujours.Dans l'ensemble, cette aide instituée nesuffit pas de faire face aux besoins alimentaires,qui deviennent excessifs durantle mois de carême. Pour la plupart desfamilles aux faibles revenus, "6.000 DAn'est pas la somme indiquée pour faire lesemplettes durant le Ramadhan", dénoncentles citoyens rencontrés.Une somme d'ailleurs qui ne correspondaucunement avec la réalité des prix qui necesse d'augmenter devenant intenable.Face à cette situation, il est urgent derevoir ce dispositif, pour le faire adapteraux vrais besoins des pauvres
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Posté Le : 26/05/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com