Algérie


Oran
30 formateurs de CFPA sont actuellement en stage de perfectionnement dans la restauration, au Royal Hôtel Oran, selon les nouvelles normes internationales. Un volet qui fait grandement défaut dans le paysage hôtelier national.Le Royal Hôtel Oran a présenté dernièrement sa toute nouvelle carte gastronomique expliquée par l'un de ses deux chefs de cuisine, le Français Philippe Bourdon. Un menu qui compose avec un équilibre recherché entre les saveurs françaises et algériennes. Entre les parfums de Marseille et les côtes témouchentoises. Un mariage pour le plus grand plaisir des fins gourmets, dédié aux saveurs méditerranéennes. Avec la nouvelle carte du Royal Hôtel, les clients de l'établissement hôtelier de 5 étoiles, mais également les fidèles du restaurant Les Ambassadeurs ont le choix entre des plats typiquement standardisés, en respectant la touche du chef, et les incontournables de la table méditerranéenne. En entrée, le restaurant propose un panel de saveurs allant du marbré de foie gras de canard à l'aubergine et courgette grillées, au gratin de noix de St Jacques en passant par la traditionnelle bouillabaisse maison. Philippe Bourdon, fort de son expérience algérienne de 10 ans, évoque une carte qui allie la sobriété de la cuisine internationale et les saveurs locales et régionales pour casser avec la routine culinaire qui peut s'installer dans le temps.Le nouveau menu se décline aussi entre mer et terre, poissons et viandes. Saumon, lotte, espadon et mérou côtoient lapin, poulet, canard ou encore b'uf ainsi que l'indispensable méchoui à la table algérienne, dans une explosion de saveurs à ravir les papilles gustatives.Mais la cuisine du Royal Hôtel ce n'est pas uniquement un menu à la carte, c'est aussi une contribution mécène à la formation d'un personnel qualifié venu des centres de formations professionnelle. Actuellement, ce sont 30 formateurs de CFPA qui sont en stage de perfectionnement dans la restauration, selon les nouvelles normes internationales.Un volet qui fait grandement défaut dans le paysage hôtelier national et qui grève fortement toutes les tentatives de relance du tourisme.L'hôtel s'inscrit dans une politique pérenne qui lui permet d'ouvrir ses portes pour les compétences avérées.L'exemple le plus illustratif est celui du second chef de cuisine, l'Algérien Habi Fayçal, pur produit du prestigieux Institut des techniques hôtelières (ITH) de Tizi Ouzou, qui a été recruté en 2006 par l'Hôtel Royal et qui a gravi tous les échelons pour devenir chef depuis deux ans.S. O.




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