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La faculté de médecine de Chlef attendra'

Un sentiment de frustration s'est emparé de la population de Chlef, notamment le monde universitaire, après l'annonce par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, de la création de trois facultés de médecine dans le sud du pays. «Nous ne sommes pas contre le projet, mais nous voulons notre faculté de médecine dont l'étude moisit dans les terroirs de l'administration depuis plus de cinq ans, et ce, en dépit des promesses maintes fois renouvelées des autorités locales et centrales. Et comme un malheur n'arrive jamais seul, le nouvel hôpital de 240 lits, qui a été réalisé à cet effet et inauguré par le ministre de la Santé en novembre dernier, est de nouveau fermé, faute de budget de fonctionnement», déplorent des citoyens qui ont pris attache avec notre bureau de Chlef. Cet établissement hospitalier, le premier du genre à être construit après le séisme de 1980, devrait être parrainé par des équipes de spécialistes des CHU d'Alger. L'autre argument de taille mis en avant par les Chélifiens est la présence d'une grande université dans la région, qui compte plus de 30 000 étudiants.
Télésurveillance dites-vous '

Un citoyen a eu la mauvaise surprise d'apprendre que les caméras de l'intersection de Saïd Hamdine ne fonctionnent pas. Pour une fois qu'il pensait que la télésurveillance allait servir à quelque chose, finalement non. Après un léger accident, l'automobiliste a cru que son vis-à-vis avait pris la poudre d'escampette, il a été alors prévenir les policiers en faction pour les aviser des faits. La réponse qu'il a eue : «on ne peut rien faire pour vous monsieur». «Mais il y a les caméras, vous pouvez avoir l'identité de mon ''adversaire''», insiste-t-il ! Ces machines ne sont pas opérationnelles, rétorquent les policiers. Des milliers de caméras sont placées dans toutes les ruelles d'Alger, et dans les endroits les plus reculés de la capitale. La question qui se pose est : combien de caméras, qui se comptent par milliers, fonctionnent encore '
Workshop sur le test de Kras à Alger

Le test Kras est préconisé pour identifier les patients éligibles aux thérapies ciblées. Comme il est indiqué chez tous les patients atteints d'un cancer colorectal métastatique. Dans ce cadre, les laboratoires Merck Serono ont choisi Alger pour donner le coup d'envoi de ce programme maghrébin de formation continue (Excellence Academy). Cette rencontre scientifique qui s'est déroulée à l'hôtel Mercure d'Alger a réuni des médecins anatomo-pathologistes, biologistes et oncologues ainsi que des laborantins et manipulateurs. Elle a été encadrée par des experts algériens et étrangers. Le test de Kras aide les médecins à choisir le bon traitement, administré au bon patient, comme il permet d'éviter aux patients de subir les effets toxiques inutiles découlant d'un traitement inefficace. Actuellement, les laboratoires Merck Serono prennent entièrement en charge les frais de ce test qui se fait à l'étranger auprès d'un laboratoire agréé à l'échelle internationale. Trois centres de référence ont été ciblés à Alger (CPMC), Oran (EHU) et Annaba (CHU) pour prendre en charge le test de Kras dans un proche avenir.
Saisie à Blida de plus de 26 000 CD contrefaits

Une saisie de plus de 26 000 disques compacts (CD) contrefaits, en infraction totale avec la loi sur l'édition, a été opérée par la brigade économique et financière de la police judiciaire de Blida. Dans le cadre de la lutte contre les atteintes aux droits de la propriété intellectuelle et industrielle, la même brigade a réalisé, en coordination avec les éléments de l'Office national des droits d'auteurs et droits voisins (ONDA) relevant de l'Agence d'Alger-Centre, une saisie de 4410 CD contrefaits par un commerçant de CD audiovisuels qui reproduisait et copiait illégalement des créations classées protégées à l'intérieur d'un garage à Béni Mered. Le commerçant a été déféré devant le parquet de Blida, a-t-on signalé. Une saisie similaire de 21 600 CD contrefaits, associée au défaut de registre du commerce, a été également opérée au marché hebdomadaire de Boufarik et le concerné a été déféré devant le procureur de la République près le tribunal de Boufarik, a-t-on ajouté.