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C'est la composante humaine du TAS qui a été renouvelée

«Il n'a jamais été question d'un vote pour la dissolution du TAS par l'Assemblée générale du COA, mais d'une résolution portant sur un changement de sa composante humaine qui émane de la FAF et qui a été très largement suivie», a déclaré l'ancien président du COA, Mustapha Berraf. Le TAS est une institution prévue par la loi, elle est effectivement autonome, mais sa composante est choisie par les structures compétentes du Comité olympique. Il n'y a aucune action personnelle dans cette décision, mais ses responsables doivent comprendre que ceci est l'expres- sion de la volonté de l'Assemblée générale et il ne saurait y avoir de remise en cause, sauf dans les mêmes formes. Quant aux décisions prises antérieurement par le TAS,elles sont exécutoires, car la résolution prise par l'AG dernièrement n'est pas rétroactive. En conclusion, le 1er vice-président de l'ACNOA a affirmé qu'«il était temps d'orienter ses efforts en direction des jeunes athlètes et leur devenir pour pouvoir en récolter les fruits en 2020.» «Nous avons désormais tous le devoir de nous rassembler derrière le plan d'action de notre gouvernement», a-t-il encore souligné.
Nouveau PDG de l'ENPI

Un spécialiste de l'habitat, Mouloud Dahel, a été nommé par Abdelmadjid Teboun comme PDG de l'Entreprisse nationale de la promotion immobilière (ENPI). Il a été installé mercredi dans ses nouvelles fonctions. Ancien directeur du Fonds de garantie de la promotion immobilière, qu'il a lancé lui même en 1999, M. Dahel a passé toute sa carrière dans le domaine. Sa nouvelle mission est pleine de défis, et le premier d'entre eux est de diminuer la pression qui s'exerce sur le logement. Il ambitionne de sortir des canaux traditionnels en lançant par exemple des logements à destination de la classe moyenne.
Rappelons que l'ENPI a été créée il y a trois ans, en remplacement des 19 EPLF du pays dissoutes par Ouyahia et devenues des directions techniques.
La filière libyenne

Une véritable filière libyenne d'exportation de chevaux de course à partir de notre pays est en train de prendre forme. En effet, un va-et-vient incessant de potentiels clients libyens a été observé, cette semaine, au niveau de l'hippodrome du Caroubier, où des coursiers candidats à l'exportation frauduleuse étaient stationnés. Le plus grave dans cette histoire, c'est que ces chevaux entrés en Algérie après que l'importateur ait bénéficié des mécanismes de transfert de devises facilitant une telle transaction, se retrouveront en terre libyenne où ailleurs dans une totale impunité. Les services de la DSV du ministère de l'Agriculture et du Développement rural sont plus que jamais interpellés.