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Une facture «salée» d'électricité de Sonelgaz

Un abonné de Sonelgaz est tombé des nues quand il a pris connaissance du montant de sa facture trimestrielle de consommation d'électricité et de gaz. Et pour cause, cet abonné de la région d'Oran a été sommé, selon des informations rapportées par la presse locale, de s'acquitter de pas moins de 44 millions de centimes, sous peine de coupure. N'en croyant pas ses yeux, l'infortuné abonné a demandé à ses «créanciers» de vérifier la véracité du chiffre faramineux. Les responsables de Sonelgaz qui se sont exécutés après un contrôle minutieux de l'historique des consommations de leur «victime», ont découvert qu'il s'agissait en réalité d'une bourde humaine commise par l'un des agents, qui, d'ailleurs, a été aussitôt sanctionné pour cet impair qui a failli coûter cher à ce client.
Anachronisme à l'hôpital de Béchar

A l'heure de l'introduction de la télé-médecine, l'hôpital de Béchar ne parvient toujours pas à surmonter l'anachronisme qui perdure depuis plusieurs années dans cet établissement. Certes, les patients affectés par certaines pathologies dites lourdes sont, grâce à cette innovation technologique, désormais traités sur place, ce qui diminue les évacuations et déplacements coûteux vers les hôpitaux du Nord.
Le traitement des malades à partir de la télé-médecine se fait par le biais d'un échange de communications sur écran entre l'équipe médicale de Béchar et celle de Bab El Oued (Alger). Mais le paradoxe que vit la structure hospitalière de Béchar, à l'instar de nombreux établissements publics du pays, réside, en ce qui concerne la wilaya du Sud, dans l'inexistence de certaines spécialités comme l'orthopédie, la cardiologie et la radiologie.
L'hôpital «240 lits» a besoin au moins de trois spécialistes dans chacune de ces disciplines médicales manquantes, qui sont assurées pour l'instant par des praticiens conventionnés. Cet anachronisme, à l'heure de la télé-médecine, sera-t-il un jour dépassé pour laisser place à une gestion cohérente '
Une rencontre au féminin à Tipasa

La wilaya de Tipasa enregistre un nombre élevé de cas de violences contre les femmes. Dans ce cadre, la radio régionale de Tipasa organisera un fil rouge sur le sujet, en faisant participer les victimes de ces violences, mais aussi en ouvrant ses lignes téléphoniques pour animer et enrichir les débats durant toute la journée de dimanche. En plus de la présence des éléments de la Gendarmerie nationale et de la Sûreté nationale, des psychologues, des sociologues, des psychiatres, des imams, des enfants des familles déchirées par les violences conjugales se joindront aux femmes victimes dans le studio de la radio pour «crever l'abcès» et essayer de trouver des solutions pour atténuer d'abord, et éradiquer ensuite ce fléau qui prend de l'ampleur au sein de la société algérienne.