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Souffrance quotidienne des étudiants à Blida

Les étudiants transférés récemment de l'université Saâd Dahleb-Soumaâ de Blida vers El Affroun, notamment ceux de la faculté de droit, souffrent chaque matin et chaque soir avant de prendre les bus de l'ex-COUS. Des bus peu nombreux. Il faut à chaque fois se bousculer, voire se bagarrer pour prendre place dans des bus bondés tous les jours. Cette situation est-elle voulue ' Pourquoi le rectorat de l'université de Blida et la direction de l'ex-Cous n'ont-elles pas pris des dispositions pour permettre aux étudiants d'être transportés dans de meilleures
conditions ' Pourquoi de telles négligences ' De plus, les étudiantes craignent beaucoup pour leur sécurité, surtout que l'université d'El Affroun est isolée. A plusieurs reprises, des agressions ont été enregistrées dans les alentours sans que des mesures ne soient prises pour sécuriser les lieux et rassurer les étudiants.
Les briseurs de grève

Lors de la grève de l'Etusa qui a pratiquement duré une semaine, les autorités de la wilaya d'Alger n'ont pas manqué de faire appel aux transports privés pour pallier la défection des bus publics. C'est ainsi que les rues et boulevards les plus «huppés» de la capitale, d'habitude interdits aux transporteurs privés, ont vu défiler toutes sortes de tacots. Les travailleurs de l'Etusa les ont surnommés les «briseurs de grève». Il faut juste rappeler que lors de la grève déclenchée par les transports du privé il y a de cela quelques années, tous ceux qui ont osé assurer le transport ont été «caillassés» par des soi-disant personnes inconnues.

«Guerre» contre les repris de justice à Boufarik

Au cours de leurs différentes investigations et virées quotidiennes ces deux derniers mois, les éléments de la sûreté de daïra de Boufarik (Blida) ont privilégié une cible : celle des repris de justice. Objectif : réinstaurer la sécurité et la quiétude publiques. En effet, un climat de terreur semé par des malfaiteurs sans scrupules régnait dans les zones périphériques de la ville. Comme ces derniers ont été «muselés», la situation sécuritaire s'est nettement améliorée. «Je travaille à Boufarik et je prends le bus en fin de journée pour aller à Soumaâ où j'habite. La station isolée à la sortie de Boufarik au-delà de la trémie n'est plus infestée par des délinquants. Une bouffée d'oxygène pour les voyageurs», témoigne une enseignante qui fait quotidiennement la navette Boufarik-Soumaâ. Cette relation de cause à effet impliquant en majorité des récidivistes relance le débat autour du rôle des prisons ou des centres de rééducation.
L'exemple du président le plus pauvre du monde

Le seul président au monde qui vit dans une ferme délabrée et reverse la grande majorité de son salaire à des 'uvres caritatives, c'est bien celui de l'Uruguay.
Jose Mujica a refusé la luxueuse résidence habituellement réservée aux présidents uruguayens et a choisi de rester dans la ferme de sa femme. Il tire son surnom du fait qu'il reverse 90% de son salaire mensuel de 9300 euros à des 'uvres caritatives en faveur des pauvres ou des petits entrepreneurs. Le salaire qui lui reste correspond à peu près au revenu moyen d'environ 600 euros.
Et il ne semble manquer de rien : sa déclaration de patrimoine, une obligation pour les élus uruguayens, s'élevait à 1411 euros en 2010, soit la valeur de sa Coccinelle Volkswagen de 1987.
Cette année, il y a rajouté les biens de sa femme (du terrain, des tracteurs et une maison), amenant son total à 168 000 euros, une fortune toujours bien inférieure à celle de son vice-président ou de son prédécesseur. «On m'appelle le président le plus pauvre, mais je ne me sens pas pauvre. Les pauvres sont ceux qui travaillent uniquement pour avoir un style de vie dépensier, et qui en veulent toujours plus.»


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