Algérie

On vous le dit


Hôtel El Djazaïr : le port de la casquette interditDésormais, à l'hôtel El Djazaïr, il est formellement interdit de porter une casquette dans l'hôtel. Cela est arrivé à un client ayant un rendez-vous dans le jardin de l'hôtel. On lui a signifié, au portique de sécurité, qu'il n'est pas toléré d'être coiffé d'une casquette (bien qu'elle soit fashion). Une ineptie ! Alors, pas de chapeau? bas. Il est interdit de se couvrir la tête? C'est à hurler de rire !
Moncef Marzouki, le plus caricaturé des Tunisiens
Critiquer l'ancien président Ben Ali était un exercice des plus hasardeux - voire même suicidaire -, traiter le nouveau président de tous les noms semble désormais la nouvelle attraction du moment. Entre «Super Barnous», réincarnation d'El Gueddafi, «Singe du Yémen» et de nombreuses autres qualifications que la bienséance nous interdit d'évoquer, Moncef Marzouki semble délier les langues. Mais est-ce ici «une simple liberté d'expression exacerbée que les citoyens (et la presse), longtemps muselés, viennent de découvrir et qu'ils ne maîtrisent pas encore ' Ou encore l'effondrement de la barrière de la peur '», s'interroge Business News. Les nombreuses critiques dont Moncef Marzouki fait quotidiennement l'objet, ne manquent pas de susciter l'indignation et la colère de ses plus farouches défenseurs et alliés, outrés de la déferlante de caricatures que subit le chef de l'Etat tunisien.
Hôpital Mustapha Pacha : un service sans sanitaires
Le personnel du CTS (Centre de transfusion sanguine) de l'hôpital Mustapha Pacha souffre depuis quelques semaines d'un manque flagrant d'hygiène, dû à l'absence d'eau, les sanitaires étant inutilisables. L'état de ce service se détériore de jour en jour, sans que les responsables concernés ne s'en soucient. Chose grave pour un service où l'hygiène doit être de rigueur, surtout pour le personnel de garde.

Les praticiens compatissants
Les résultats primaires d'une étude sur le personnel médical chargé des femmes atteintes du cancer du sein et du col utérin au CHU Oran révèlent une souffrance «éthique» des médecins en raison des pénuries des médicaments nécessaires pour la prise en charge des patientes.
L'étude intitulée «Prise en charge institutionnelle des femmes atteintes du cancer du sein et col utérin», a été réalisée par les sociologues Naouel Azzouz et Fatima Benaoum.
«Dans notre étude, nous nous sommes intéressées aux professionnels sur un plan humain et à leur travail quotidien», a souligné Mme Azzouz.
Elle a ajouté que les médecins se trouvent désarmés face aux souffrances des patientes, quand les médicaments et les moyens font défaut.
«Certains de ces praticiens vivent très mal cette situation et éprouvent des difficultés d'annoncer aux malades, qui viennent parfois de très loin, qu'elles ne peuvent pas recevoir des soins», renchérit, pour sa part, Mme Benaoum.
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