On vous le dit

Abdelbaki Benziane inaugure l'Institut des sciences de la mer à TénèsLe ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelbaki Benziane, a procédé mardi, en compagnie de la secrétaire générale de la wilaya de Chlef, à l'inauguration du nouvel Institut des sciences et des techniques de la mer à Ténès. L'établissement, construit à la sortie ouest de la ville , est doté de 1000 places pédagogiques et d'une résidence de 500 lits. Il sera opérationnel dès la prochaine rentrée universitaire. Le ministre a ensuite présidé l'ouverture d'une conférence régionale des recteurs et responsables des ?uvres universitaires de l'ouest au niveau du pôle universitaire d'Ouled Fares, au nord de Chlef. La rencontre a été consacrée aux préparatifs de la nouvelle rentrée universitaire 2020/2021 en tenant compte du contexte sanitaire particulier lié à la pandémie de coronavirus.
27 décès et 1231 blessés en une semaine dans des accidents de la route
Vingt-sept personnes ont trouvé la mort et 1231 autres ont été blessées dans 1031 accidents de la route survenus à travers les différentes régions du pays,durant la période du 19 au 25 juillet, indique mardi un bilan des services de la Protection civile. Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de M'sila avec cinq personnes décédées et 35 autres blessées suite à 25 accidents de la route, précise la même source. Par ailleurs, et concernant les activités de lutte contre la propagation du coronavirus (Covid-19), les unités de la Protection civile ont effectué, durant la même période, 906 opérations de sensibilisation à travers 48 wilayas, rappelant aux citoyens la nécessité du respect de confinement ainsi que les règles de la distanciation sociale. Ces unités ont également effectué 1104 opérations de désinfections générales à travers 48 wilayas ; ces opérations ont touché l'ensemble des infrastructures et édifices publics et privés, quartiers et ruelles, avec la mobilisation pour les deux opérations de 4600 agents de la Protection civile, tous grades confondus et 668 ambulances et 598 engins anti-incendie.
Un seul passager a suffi pour en contaminer 700 sur le Diamond Princess
Une analyse génétique parue mardi 28 juillet révèle qu'une seule personne est sans doute à l'origine des 700 contaminations à bord du paquebot Diamond Princess, l'un des tout premiers foyers de la pandémie de la Covid-19, devenu un sujet d'étude idéal et riche d'enseignements pour la communauté scientifique mondiale. Dans une étude parue dans la revue américaine PNAS, une équipe de l'Institut japonais des maladies infectieuses rapporte avoir séquencé le génome des virus prélevés sur 148 des passagers et membres d'équipage du navire, qui fut placé en quarantaine pendant 14 jours par les autorités japonaises le 3 février dans le port de Yokohama, après qu'un passager de 80 ans, débarqué à Hong Kong auparavant, avait été testé positif le 1er février.
D'inestimables pertes à la forêt suburbaine de Tiaret
Après avoir vaincu les flammes et circonscrit les feux qui se déclaraient, trois jours durant, à l'aide de plusieurs unités de la Protection civile, d'entités publiques, de l'armée et de centaines de citoyens, les responsables forestiers estiment les pertes à «500 hectares de pins d'Alep et diverses autres variétés». Bien plus, c'est l'espèce animalière qui a encore pâti de l'inconséquence de cet acte que beaucoup jugent «criminel». Hier, en dépit de l'extinction des grands feux qu'une bourrasque a atténués, des éléments combinés sont restés en place pour parer à d'éventuels autres départs de feu.
La moitié des habitants des bidonvilles de Bombay touchés par la Covid-19
La situation sanitaire semble être encore plus catastrophique qu'annoncée en Inde. Plus de la moitié des habitants des bidonvilles de Bombay, dans l'ouest du pays, semblent avoir eu le coronavirus, selon une étude commandée par la ville et diffusée mardi. Surtout, ces nouvelles données viennent jeter le doute sur les chiffres officiels de contaminations en Inde. L'Inde est déjà le troisième pays le plus touché au monde après les Etats-Unis et le Brésil, avec près de 1,5 million de cas. Mais, selon les experts, la pénurie de tests ne permet pas de connaître l'ampleur réelle de la pandémie. Des tests sanguins menés par les autorités à Bombay sur 6936 personnes sélectionnées au hasard ont montré que 57% des habitants des bidonvilles et 16% des résidents des autres quartiers avaient des anticorps.