Algérie

On vous le dit


Plus de 600 bouteilles de gaz explosent dans un camion de transport à Oum El BouaghiEnviron 630 bonbonnes de gaz butane ont explosé samedi dans l'incendie d'un camion de transport dans la commune de Fekrina (Oum El Bouaghi), a-t-on appris dans un communiqué émanant de la direction locale de la Protection civile. L'accident s'est produit sur la RN80 entre Fekrina et la commune de Aïn Beïda au lieu-dit Ouled Latifa et n'a causé aucune perte humaine, selon la même source. Sont intervenus lors de cet accident les éléments de l'unité secondaire de la Protection civile de la daïra de Fekrina, épaulés par trois autres unités, a-t-on ajouté. Il est à noter que le directeur de wilaya de la Protection civile s'est rendu sur place accompagné des éléments de la Gendarmerie nationale, de Sonelgaz et de l'entreprise Naftal.
La commune de Sétif est en «congé» de maladie
Décriée depuis le début du mandat, la gestion des affaires de la commune de Sétif, la 10e plus riche municipalité du pays, est une nouvelle fois pointée du doigt par les citoyens , lesquels ne comprennent pas le «forfait» de l'exécutif communal ne jugeant pas utile de donner un coup de fouet au cadre de vie des cités dortoirs , le dernier des soucis des gestionnaires de l'agglomération. Pour suppléer la «démission» des locataires de l'hôtel aux abonnés absents, la masse juvénile de la cité des 1006 Logements ne ménage aucun effort pour embellir son espace de vie. N'ayant pas attendu l'éclipse du coronavirus, la «fin» du congé des élus, ou l'inscription d'une utopique opération d'«amélioration urbaine», les jeunes sans moyens s'attaquent aux herbes sauvages, redonnent une seconde vie aux espaces verts de leur cité, située à quelques encablures des alentours des sièges de la wilaya et de la commune bichonnés à longueur d'année.
Le maire de Abadla décède des suites d'une pathologie pulmonaire aggravée par la Covid-19
Hadj Abdelmalek Ben Abderrahmane, maire de la commune d'Abadla, 80 km au sud du chef-lieu de wilaya, est décédé, vendredi, à l'hôpital 240 lits de Béchar des suites d'une pathologie pulmonaire aggravée par la pandémie du Covid-19. Le défunt, né en 1952, était un ancien syndicaliste, qui a activé dans les rangs de l'UGTA, plusieurs fois élu au sein de l'exécutif communal d'Abadla. Il était très estimé par la population de sa commune.
Le CAC de Sétif, une coquille vide?
Construit pour atténuer les souffrances et améliorer la prise en charge médicale de malades atteints de cancer, le centre anti-cancer (CAC) de Sétif , desservant un bassin de plus 7 millions d'habitants, est une coquille vide qui a coûté aux caisses de l'Etat plus de 4 milliards de dinars (400 milliards de centimes). Inauguré en grandes pompes le mardi 29 octobre 2013, le CAC de l'antique Sitifis est tout sauf un hôpital prenant en charge une pathologie aussi lourde. Sept années après sa «mise en service», le centre attend une réception définitive bloquée par d'innombrables réserves et malfaçons, manque de tout. Mieux encore, les 120 lits d'hospitalisation de malades, dont certains viennent de très loin, moisissent, car ils ne sont pas occupés. Un tel problème n'offusque, pas outre mesure, la direction du centre, la DSP et le ministère de la Santé. L'indifférence des uns et des autres perturbe non seulement l'action des soignants, mais attise les malheurs des malades et de leurs proches pour lesquels le CAC de Sétif ressemble n'est ni plus ni moins qu'à une petite structure de jour.
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