Algérie

On vous le dit


- L'agence Air Algérie de Chlef de nouveau paralyséeRien ne va plus à l'agence Air Algérie de Chlef, dont l'activité a été de nouveau paralysée, hier, par une panne prolongée du système de réservation et de délivrance des billets de voyage. Les nombreux voyageurs, présents dès les premières heures de la matinée, sont repartis bredouilles. Le premier responsable de l'agence étant absent, les employés ont tenté de calmer les esprits en expliquant les raisons de la panne technique qui relève de la compétence des autres services.
On peut donc facilement imaginer les désagréments causés à la clientèle, ainsi que le préjudice subi par ce comptoir commercial, unique en son genre dans la région, à cause de ces défaillances à répétition. On croyait que la création d'une délégation régionale d'Air Algérie à Chlef allait dynamiser et améliorer la qualité de service au sein de cette structure, il n'en est rien malheureusement. La direction d'Air Algérie est ainsi interpellée par la clientèle pour mettre fin aux dysfonctionnements qui caractérisent cette agence commerciale.
- Bientôt le passeport biologique de l'athlète
L'Algérie compte intégrer le passeport biologique de l'athlète dans sa stratégie de lutte contre le dopage. C'est ce qu'a révélé Mekacher Lamine, président de la Commission nationale antidopage (CNAD). Intervenant à l'occasion d'une conférence animée hier à l'université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, Mekacher a souligné, par ailleurs, la nécessité de réfléchir à l'ouverture d'un centre antidopage dans notre pays. Selon lui, pas moins de 1059 prélèvements urinaires sur des athlètes ont été effectués ces cinq dernières années. La plupart de ces contrôles ont eu lieu dans des compétitions.
En 2016, 1,33% des effectifs sportifs contrôlés était positif contre 1,29% en 2015, a indiqué le responsable de la CNAD, également maître de conférences en toxicologie, ajoutant que des cas de dopage ont été enregistrés même au niveau des lycées sportifs. Les stéroïdes anabolisants et autres stimulants sont parmi les produits les plus détectés.
- Le contrôle technique dans tous ses états à Sétif
Pour passer le contrôle annuel d'un véhicule, qu'il soit utilitaire ou de tourisme, le conducteur est désormais obligé de passer des heures dans des queues interminables. Le nouveau «logiciel», ne donnant la main au contrôleur qu'après 20 longues minutes d'attente, occasionne moult désagréments aux professionnels et aux clients mécontents.
«Pour le contrôle de la pollution et des organes de suspension et de freinage, j'ai attendu cinq heures, alors que d'habitude l'opération ne prenait que quelques minutes. Avec cette nouvelle approche, on est dans l'obligation de zapper toute une journée de travail», souligne, non sans colère, un automobiliste de Sétif.
Des professionnels enfoncent carrément le clou : «En France, où tous les moyens sont réunis, le contrôle d'un véhicule coûte 70 euros. Ce n'est pas le cas chez nous, où l'on doit travailler plus de dix heures par jour et soumettre le personnel à une forte pression», tonnent des professionnels excédés.
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