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Alerte à l'amiante à Béthioua

La sonnette d'alarme est tirée par les habitants des bases de vie de Sonatrach situées à Béthioua. L'amiante peut provoquer des maladies très graves. Cette matière cancérigène continue de menacer les habitants des camps de vie de Sonatrach de la commune de Aïn El Biya, à Béthioua. Les murs et les plafonds de ces habitations, en préfabriqué, qu'occupent environ 2000 personnes réparties sur les plusieurs camps, contiennent de l'amiante. Un état de fait qui ne laisse pas indifférents les habitants. Outre le risque d'incendies, certains habitants ont soulevé le problème de santé de leurs enfants. Nombre d'entre eux sont atteints de maladies respiratoires ou d'allergies aiguës, bien que la durée de vie de ces constructions ait expiré depuis plusieurs années. Ces villages, relevant de Sonatrach, sont considérés parmi les zones les plus peuplées de la région.
Il a tenté de brûler le maire

Mardi dernier, le maire d'El Amria, dans la wilaya de Aïn Témouchent, a été sauvé in extremis d'une mort certaine lorsqu'un individu l'a aspergé d'essence alors que le briquet qu'il manipulait a tardé d'émettre l'étincelle. Une grande panique engourdit le maire qui s'est mis à crier pour demander de l'aide. Fort heureusement, les agents sont venus à son secours et ont pu maîtriser l'individu qui a été conduit au poste de police. Selon toute vraisemblance, le mis en cause s'est introduit brusquement et de force dans le bureau du maire. Des témoins oculaires ont rapporté que les propos échangés entre le maire et l'intrus avaient trait au poste de travail permanent que l'individu avait sollicité et qu'il attendait vainement. Le mis en cause devait être présenté devant la justice.
Colloque international sur la vie de Ben Bella

Le journal Ouest-Info, paraissant à l'ouest du pays, organise un colloque international sur la vie de feu Ahmed Ben Bella, les 28,29 et 30 octobre 2012, à Sidi Bel Abbès. D'éminents historiens et personnalités politiques algériens et étrangers animeront des conférences sur le parcours de l'ancien président.

Les victimes collatérales de la table du Ramadhan

Les enfants en bas âge ont été les premières victimes collatérales des tables bien garnies du f 'tour durant le mois de Ramadhan. Les services sanitaires ont recensé, durant le mois sacré, une progression fulgurante des cas de brûlures parmi les enfants en bas âge. Une centaine de bambins ont été ainsi brûlés, dont une vingtaine grièvement. Ces derniers ont été admis au service des grands brûlés et de la chirurgie plastique et réparatrice. La quasi totalité des accidents ont eu lieu dans la cuisine, quelques heures seulement avant la rupture du jeûne.
Régularisation vis-à-vis du service national

Au total, 76 009 citoyens âgés de 30 ans et plus dont 1442 résidant à l'étranger ont bénéficié des mesures présidentielles depuis le début de l'opération de régularisation de leur situation vis-à-vis du service national jusqu'au 6 août, indiquait, jeudi, le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué. «Depuis le début de cette opération et jusqu'au 6 août 2012, le nombre de citoyens ayant bénéficié des mesures présidentielles s'élève à 76 009, dont 1442 résidant à l'étranger», précise le communiqué.
Par ailleurs, le MDN porte à la connaissance des citoyens que les centres du service national continueront à accueillir et à prendre en charge, «avec toute la diligence requise les personnes concernées qui se présenteront, et ce, indépendamment du calendrier de passage fixé antérieurement». Le président Bouteflika avait décidé, le 28 février 2011, de régulariser «définitivement» les jeunes citoyens âgés de 30 ans et plus au 31 décembre 2011 incorporables et qui ne l'ont pas été.