Algérie

On vous le dit



Un site Internet pour la réconciliation nationale Un ingénieur en génie civil à Souk Ahras, Faouzi Djoudi, et un pharmacien de Sétif qui poursuit ses études à Lyon, Nabil Foudi, ont profité de la visite du président Bouteflika dans la ville des Hauts-Plateaux, jeudi dernier, pour lancer un site Internet sur la réconciliation nationale que chacun peut consulter au www.reconciliation_algerie.com Anarchie dans un marché aux bestiaux La construction de la porte principale du marché hebdomadaire de la ville de Djelfa, qui abrite trois souks par semaine : des femmes, aux bestiaux et à la brocante, semble s?éterniser, a-t-on constaté. Cette situation, dont l?adjudicateur du marché est le premier responsable, ne semble pas préoccuper outre mesure les gestionnaires des lieux qui se contentent de prélever une « dîme » forfaitaire sur les vendeurs. La souffrance des riverains de l?oued Bou Arfa à Blida Cheikh Hamoud M. déclare ne plus pouvoir respirer : « A 75 ans, il ne m?est pas possible de supporter plus longtemps la litanie des moteurs de semi-remorques man?uvrant juste en-dessous de mes fenêtres, ainsi que la poussière soulevée par les pneus et les opérations de charge et de décharge de matériaux de construction. » Il est vrai que la berge est de l?Oued Bou Arfa, affluant de l?Oued Sidi El Kebir et les deux se déversent dans l?Oued Chiffa, reçoit sans discontinuer toutes sortes de véhicules, imposant ainsi aux riverains une cacophonie aux mélodies insoutenables à l?oreille. Extrême limite de la commune de Blida, cet axe routier est dénué d?éclairage public au niveau du lotissement Ricci Dahane, et aux décibels dégagés par les moteurs des gros véhicules se rajoutent ceux d?une salle des fêtes qui ne disposerait pas - selon un avocat habitant les environs - des autorisations nécessaires en ces lieux où les immondices se disputent également l?espace, transformant ainsi l?axe routier en descente aux enfers. Vol de câbles en cuivre Les services de la Gendarmerie nationale de Naâma ont récupéré plus de 2,4 q de câbles en cuivre, volés, et procédé à l?arrestation d?une bande composée de quatre malfaiteurs connus pour leurs méfaits dans les régions frontalières de N?sanis et Galoul. Les câbles saisis représentent l?équivalent de 2,5 km de fibres téléphoniques, et sont utilisés pour des travaux de plomberie, de bijouterie et autres métiers. Importante saisie de drogue à Oum El Bouaghi Après l?arrestation d?un dealer transportant 350 g de kif traité par la PJ de Meskiana, au cours du mois dernier, la brigade de la BMPJ de Aïn Beïda vient de mettre la main sur un autre trafiquant. Agissant sur information, les éléments de la BMPJ ont procédé à la perquisition du domicile de B. H., 35 ans, et ont mis la main sur plusieurs plaques de 200 g de drogue, ainsi que des cachets de psychotropes et de kif traité. Le mis en cause a été déféré devant le parquet de Aïn Beïda pour être jugé. Ce n?est pas la première fois que la BMPJ de Aïn Beïda procède à de telles saisies de drogue. La prolifération du phénomène a pris des proportions telles que tous les services habilités (police et gendarmerie) veillent au grain. La colère des marchands informels de Daksi Les commerçants informels de la cité Daksi à Constantine, dont la plupart sont des marchands ambulants de fruits et légumes, ont exprimé une vive réaction lors de leur évacuation par la force dans l?après-midi du mercredi par les services de sûreté. Si cette action est venue à temps suite aux multiples plaintes des riverains, las des désagréments quotidiens et des décharges sauvages ayant rendu les conditions de vie insoutenables, elle ne semble guère plaire aux commerçants et autres revendeurs occasionnels qui, dans un sursaut de colère, ont installé des barricades bloquant durant des heures la route menant vers la cité des Frères Abbès. Les lieux seront finalement libérés suite à l?intervention des éléments de l?ordre public en début de soirée qui connaîtra un retour au calme même si le délogement définitif de ces squatters de la voie publique ne sera point une mince affaire.


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