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1962, de l'Algérie française à l'Algérie algérienne en avant-première à Paris
1962, de l'Algérie française à l'Algérie algérienne, un documentaire en deux épisodes (64x2) sur l'année de l'indépendance nationale «racontée de l'intérieur», a été projeté en avant-première, vendredi soir, à l'Institut du monde arabe à Paris, dans le cadre d'un méga-programme dédié par l'établissement culturel au cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie. Réalisé par Malek Bensmaïl et Marie Colonna, nés tous deux dans l'Algérie indépendante, le documentaire est réalisé en deux épisodes : le premier, A vous maintenant de faire la paix relate la période comprise entre le cessez-le-feu proclamé le 19 mars 1962 et juin de la même année, tandis que le second épisode, C'était comme un rêve..., s'intéresse à la période de l'indépendance de l'Algérie le 5 juillet 1962 à la tenue de la toute première Assemblée du jeune Etat, présidé par feu Ahmed Ben Bella.
Scandales à Tlemcen
Deux mois à peine après la clôture de l'événement «Tlemcen, capitale de la culture islamique», les premières affaires scabreuses liées aux multiples projets entrant dans ce cadre apparaissent. Mardi dernier, un juge d'instruction de la deuxième chambre du tribunal de Tlemcen a mis sous mandat de dépôt quatre entrepreneurs parmi les vingt entendus, pour fausse déclaration, évasion fiscale, surfacturation, dilapidation de biens publics et corruption. Un préjudice estimé à près de 1 milliard de dinars. Selon nos sources, le P/APC de Tlemcen a été également entendu par la justice. Rappelons que pour cette manifestation de Tlemcen, l'Etat algérien avait mobilisé 250 milliards de dinars.
Une minute de 61 secondes ça n'existe pas... sauf le 30 juin 2012
La dernière minute du mois de juin 2012 comptera 61 secondes. Une façon de permettre au temps universel, défini par les horloges atomiques, de compenser son avance sur celui rythmé par la rotation de la Terre, bien plus irrégulière. En «temps universel coordonné» (UTC), aussi appelé à tort GMT, le passage entre le 30 juin et le 1er juillet prochains se fera donc, non pas comme d'habitude à 23h59 et 59 secondes, mais bien à «23h59 et 60 secondes». Avant 1972, le «temps était donné par l'astronomie. C'est-à-dire que pour connaître l'heure, on regardait la position d'un astre, le Soleil ou d'autres objets célestes par rapport à la Terre», résume Noël Dimarcq, directeur du laboratoire Syrte (Systèmes de référence temps espace) à l'Observatoire de Paris. «Aujourd'hui, le temps est construit, défini et mesuré à l'aide d'horloges atomiques qui sont infiniment stables par rapport au temps astronomique. Cela permet d'être sûr que tout le monde autour de la Terre a la même heure», explique-t-il .
Le FELIV rend hommage à 10 auteurs algériens
Dans le cadre du 5e Festival international de la littérature et du livre de jeunesse (FELIV) s'étant tenu du 14 au 22 juin 2012 à l'esplanade de Riad El Feth, un hommage appuyé a été rendu à la littérature algérienne, et ce, à titre posthume. Aussi, un livret en français et arabe a été édité pour vulgariser les 'uvres-phares de Moufdi Zakaria, Ahmed Reda Houhou, Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri, Abdelhamid Benhadouga, Mohamed Dib, Malek haddad, Kateb Yacine, Abou Laïd Doudou et Tahar Ouettar. Et ce, pour' 50 DA seulement ! B.A. à saluer tout bas.