Algérie

On vous le dit



On vous le dit
Un jardin d'enfants fermé depuis... 1962
Plus de cinquante après l'indépendance, il demeure à Mohammadia (wilaya de Mascara), des lieux qui sont fermés et jalousement gardés, voire interdits. En effet, des citoyens, conscients et jaloux de la beauté ainsi que de la réputation de leur belle cité, appelée à juste titre la cité des Oranges, signalent un fait qui sort de l'ordinaire. Il existe près de l'école Ibn Rochd, en plein centre-ville de Mohammadia, juste près du complexe sportif scolaire, un petit jardin dont les portes demeurent cadenassées depuis, tenez-vous bien... 1962 ! Aucune justification n'est avancée quant à cette inexplicable, voire mystérieuse, fermeture.

Le diktat des plagistes illégaux a débuté
Les responsables locaux des communes côtières du pays trouvent, chaque année durant cette période, beaucoup de difficultés à débarrasser les plages des concessionnaires illicites qui imposent leur diktat. La guerre des solariums a débuté très tôt cette année. Les plagistes illégaux sont devenus un véritable casse-tête. Non encore autorisés, des plagistes ont investi les plages de bout en bout, en disposant leurs solariums au vu et au su de tout le monde. Certains ont même installé des barrières, empêchant les baigneurs de trouver des espaces libres pour goûter aux plaisirs de la baignade. Cette situation dénote une absence d'autorité. Si la loi recule devant des intrus, ces derniers ne prendront alors plus de gants pour soumettre les vacanciers à leur diktat. L'intervention rapide des autorités est plus que nécessaire pour mettre fin à cette anarchie.

Des aires hypothéquées reçoivent des containers
Sur les abords de l'autoroute Alger-Oran, juste à hauteur de Beni Mered, des containers sont disposés sur une aire de l'ex-Novo Grains. L'activité va bon train, pourtant ces terres sont hypothéquées puisqu'elles sont saisies au profit de la BADR. La question est de savoir comment un agrément a été délivré pour la construction d'une zone de dépôt portuaire.

Un accident fait 8 blessés dont 2 graves à Sidi Brahim
Huit personnes ont été blessées dans 2 accidents de la circulation survenus hier près de la commune de Sidi Brahim, localité située à une quinzaine de kilomètres de la ville de Sidi Bel Abbès. L'accident s'est produit lorsqu'un taxi transportant sept passagers est entré en collision avec un véhicule léger à bord duquel se trouvaient 4 personnes. Les services de la Gendarmerie nationale ont ouvert une enquête pour déterminer les causes de l'accident.

Une femme fait une chute mortelle du 5e étage
Une femme âgée de 49 ans a fait, lundi, à Sidi Bel Abbès une chute mortelle du 5e étage de l'immeuble où elle habitait. Selon les premiers éléments d'information, la victime, répondant aux initiales de I. S., aurait perdu
l'équilibre au moment où elle se trouvait au balcon de son appartement situé au village dit Le Rocher. Une enquête judiciaire a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.




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