Algérie

On vous le dit



On vous le dit
Des enfants scolarisés sans protection légale à BiskraVoulant inscrire leurs enfants en première année primaire, alors que les bambins en question auront 6 ans révolus dans moins d'un trimestre, des parents d'élèves ont été sommés par les directeurs de certains établissements scolaires de Biskra de signer et de faire légaliser par les services municipaux un document sans en-tête, selon lequel ils endossent l'entière responsabilité de tout ce qui pourrait survenir à leur progéniture au sein de l'école, tels que les mauvais résultats scolaires, accidents, chutes ou autre contraction de maladies. «Je n'ai pas voulu me soumettre à cette condition pour scolariser mon fils qui a 5 ans et 9 mois et je doute de la légalité d'un tel document, car selon la législation scolaire, tout enfant scolarisé dans une école algérienne est sous la responsabilité du directeur, des enseignants et de toute l'institution éducative», explique l'un d'entre eux.Du côté des directeurs, on explique que cette sorte de reconnaissance, qui serait imposée par des inspecteurs de certaines circonscriptions scolaires, vise à dissuader les parents de scolariser les enfants de moins de 6 ans pour éviter les sureffectifs dans les classes. Mais est-elle légale ' s'interroge-t-on du côté du bureau des parents d'élèves de la wilaya, laquelle, ayant eu vent de cette pratique, a demandé à la tutelle la suppression d'un tel document non conforme à la législation scolaire en vigueur. Un cadre financier malmené par la CAAR à Souk AhrasL'idée que se font certaines personnes sur les assurances, toutes branches incluses, est en passe d'appeler au négativisme et les réflexes de quelques structures de Souk Ahras ne sont pas pour améliorer leur image dans cette wilaya. Victime d'un accident de la circulation routière, survenu le 6 mars 2016, Makhlouf Kaci, un cadre financier, a d'abord suivi toutes les démarches légales au niveau de la Compagnie algérienne d'assurances et de réassurances (CAAR) pour un éventuel dédommagement d'un dégât matériel en partant d'un constat officiel fixant le montant devant être remboursé à 24 000 DA, selon les dépenses réelles de la victime justifiées par des documents. Ce montant sera revu à la baisse pour le limiter à 18 000 DA et le transfert prendra six mois. Les doléances écrites du propriétaire de véhicule accidenté, ses audiences au niveau de l'antenne de Souk Ahras, voire à la direction régionale à Annaba, n'ont fait que conforter le choix de l'usure de la part de l'organisme d'assurance précité.Ses pérégrinations vers et depuis la wilaya de Annaba l'ont amené à donner à cette affaire une importance qui est loin d'être pécuniaire. Il a déclaré ceci : «Je fais peu cas de la somme d'argent fixée par la CAAR, mais je suis outré par les lenteurs préméditées dans le traitement du dossier et cette hogra manifeste dont je fais l'objet. Combien de fois dois-je rendre visite au directeur de l'antenne locale pour que ce dernier souffle aux préposés aux guichets de m'humilier '»Le journal a tenté de joindre l'agence locale de Souk Ahras et le département des assurances au niveau de la direction régionale de Annaba. En vain. Pour un confrère du secteur, ce cas laisse libre cours aux supputations.Trois blessés suite à l'explosion d'une bouteille de gaz à OranTrois personnes ont été blessées suite à l'explosion d'une bouteille de gaz dans un domicile situé dans la localité d'Arrarssa, relevant de la daïra Béthioua, à l'est d'Oran, selon les services de la Protection civile. Les trois personnes, membres d'une même famille - deux enfants et une femme - victimes de cet accident domestique, survenu vendredi après-midi, ont été aussitôt évacuées vers l'EHU 1er Novembre d'Oran par les services de la Protection civile pour leur hospitalisation, a-t-on ajouté de même source. Les victimes souffrent de brûlures de deuxième degré sur toutes les parties de leur corps. Secousse tellurique de magnitude 3,4 à MédéaUne secousse tellurique d'une magnitude de 3,4 sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée samedi à 11h 38 à Mihoub dans la wilaya de Médéa, indique le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG). L'épicentre de la secousse a été localisé à 3 km au Nord-ouest de la commune de Mihoub, précise la même source.


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