Algérie

On vous le dit


Les urnes du scrutin du 10 mai ont coûté 200 milliards  de centimes La fabrication d’urnes transparentes pour le scrutin du 10 mai prochain a coûté 200 milliards de centimes, a affirmé Abdelkader Ouali, secrétaire
général du ministère de l’Intérieur, lors de la rencontre régionale sur les préparatifs qui s’est  déroulée samedi à Ouargla. «Elles (urnes) ont été fabriquées par une firme algérienne et présentent toutes les garanties pour des élections sans fraude», a-t-il affirmé. 56 000 urnes transparentes portant des numéros imprimés à l’encre indélébile ainsi que 100 000 boîtes d’encre phosphorique pour la prise d’empreintes digitales des électeurs ont été prévues pour «garantir la régularité du scrutin», a indiqué, de son côté, le directeur des libertés et des affaires juridiques au ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, Mohamed Talbi.  
Les vacataires de la santé mécontents à Blida Une trentaine de vacataires, travaillant à l’établissement public de santé de Mouzaïa, ont observé, dimanche, un sit-in devant la direction de la santé de la wilaya de Blida, afin de faire valoir leurs droits. Les protestataires réclament leur salaire non versé depuis cinq mois et surtout leur titularisation. «Cela fait près de 20 ans que je travaille comme vacataire avec  seulement 9000 DA. Nous sommes des agents à tout faire, mais nous sommes les derniers à être considérés», déclare un protestataire. Et d’ajouter : «Officiellement, on travaille cinq heures par jour, mais en réalité, on dépasse les huit heures.» L’EPSP de Mouzaïa recense, à lui seul, quelque 215 vacataires répartis sur les différentes structures relevant de cet établissement. Leur sort, comme celui des autres vacataires du secteur de la santé, reste toujours incertain et dépendra seulement d’une volonté politique.

Une autre mesure administrative Dans certaines communes, les administrés ont été informés qu’ils doivent désormais se munir d’un acte de naissance et de la carte d’électeur lorsqu’ils se présenteront aux guichets pour retirer un certificat de résidence. Etonnement chez les uns, satisfaction chez les autres. Pour les premiers, il demeure inconcevable de fournir autant de pièces pour retirer un certificat de résidence. Pour les seconds, cette mesure permet d’éviter les erreurs de transcription des noms. Dans les deux cas, les citoyens seront dans l’obligation, dorénavant, de se munir de ces pièces administratives pour avoir droit au fameux certificat de résidence. Il faut signaler que cette mesure n’est pas générale pour le moment. Elle est plus considérée comme une initiative interne plutôt qu’une mesure ministérielle.

Accusé de plagiat, le chef de l’Etat hongrois démissionne       Le chef de l’Etat hongrois, Pal Schmitt,  au   cœur d’un scandale de plagiat sur son travail universitaire de doctorat, a annoncé, hier, sa démission devant le Parlement.   «Puisque selon la Constitution, la personne du président doit représenter  l’unité de la nation hongroise, et que ma personne est malheureusement devenue   synonyme de division, je sens que mon devoir est de me séparer de mon poste.»  Ce fidèle du Premier ministre conservateur Viktor Orban avait, dans un   premier temps, refusé de démissionner après s’être vu retirer la semaine dernière son doctorat, jugeant qu’il n’y avait «pas de rapport» entre sa thèse   et sa fonction de chef de l’Etat. Le Sénat de l’université Semmelweiss de Budapest avait retiré le 29 mars le   doctorat du chef de l’Etat hongrois, qualifiant de «plagiat» sa thèse sur  l’histoire des jeux olympiques qu’il avait soutenue il y a 20 ans.
 
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