Algérie

On vous le dit


-Bouteflika et l’affaire «banale» de Boufarik En voyant que leurs doléances n’ont jamais été concrétisées, en dépit des promesses des autorités locales, des habitants du boulevard des Fidayine à Boufarik n’ont pas trouvé mieux, pour que la loi soit appliquée, que d’interpeller le président de la République. Ils dénoncent l’existence «illégale» d’un café hideux, non loin de chez eux, étant, d’après leurs dires, une source de tous les maux (tapage nocturne, mal fréquenté...). Et pourtant, ce café devait être rasé il y a plus de deux ans, suite à un arrêté communal. Actuellement, il active sans aucune autorisation. Lors de sa visite à Boufarik, le 22 octobre 2011, et après des doléances des riverains mécontents, le wali de Blida a carrément instruit le P/APC de Boufarik de raser, dans l’immédiat, ce commerce de fortune. Aujourd’hui, et près de cinq mois après, rien n’est encore fait ! «Les autorités locales sont tellement démissionnaires qu’elles nous obligent à écrire au président de la République pour une affaire aussi banale», se désolent des protestataires.  

-«La malchance que le Président soit Tlemcénien » «Je vous le dis franchement, la situation à l’université d’Oran est catastrophique. Nous avons cette malchance que le président de la République soit Tlemcénien. A l’université de Tlemcen, les étudiants marchent sur du marbre, tandis qu’à l’Université d’Oran nous marchons dans de la boue et les conditions sont vraiment catastrophiques : absence de courant électrique, de data show, etc. » Cette phrase est d’une étudiante de l’université d’Oran, qui a eu le courage de dire les quatre vérités face aux caméras de l’Unique, lors de l’émission hebdomadaire «Question d’Actu» de Canal Algérie. Les aléas du direct ! L’étudiante n’a pas lésiné sur les mots en faisant le comparatif entre les conditions vécues par les étudiants des deux universités, celle d’Oran et celle de Tlemcen. L’étudiante en question, invitée à exprimer son avis en direct à la télévision à propos de l’enjeu des prochaines élections, est allée jusqu’à désacraliser le débat sur le régionalisme dans le pays. Elle n’hésite pas à lancer ceci en direct : «Nous avons cette malchance que le président de la République soit Tlemcénien.» La phrase est lourde de sens.

-L’homme devrait se mettre dans la peau d’une femme au moins une journée La romancière algérienne, Maïssa Bey, a suggéré que  l’homme se mette «dans la peau d’une femme au moins une fois l’an» pour comprendre la condition qu’elle subit et mesurer le chemin qui lui reste à parcourir  pour la conquête de ses droits.   Evoquant le vers d’Aragon, «La femme est l’avenir de l’homme», sorti rituellement chaque année à l’occasion du 8 Mars, l’écrivaine s’insurge presque contre le détournement de cet hymne du célèbre poète à la femme, devenu une  formule creuse de circonstance, résume-t-elle. Concernant ce 8 Mars 2012, l’écrivaine souligne que si «aujourd’hui la femme occupe de manière irréversible l’espace public, il n’en demeure pas moins qu’elle est l’objet des mêmes a priori et contraintes», confie-t-elle    en marge d’une rencontre organisée, à la veille de la célébration de la Journée de la femme, sur les difficultés d’écrire dans la société algérienne quand on est femme. -L’entreprise Hodna lait distinguée à Madrid Hodna lait à été primée le 22 février dernier lors du 40e Golden international trophy for quality Madrid 2012- Spain. Une distinction qu’accorde la prestigieuse fondation Trade Leaders Club basée à Madrid aux meilleures entreprises dans différents pays du monde, en guise de reconnaissance pour le sérieux, la persévérance dans le travail et la qualité des services produits. Un trophée, un certificat et un insigne d’or de la qualité portant les références de la compétition et de la fondation ont donc été attribués à la SARL Hodna lait. Les lauréats de cette compétition sont choisis anonymement par le comité de sélection représentant les 7500 membres de la fondation venus de 90 pays  différents. Une reconnaissance internationale qui n’honore pas uniquement la SARL Hodna lait ou la wilaya de M’sila, mais toute l’Algérie et les produits algériens.  
 
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