Algérie

On vous le dit


10 ans de prison pour des poseurs de bombes à Boumerdès   Deux individus ont été condamnés, avant-hier, à 10 ans de prison ferme par le tribunal criminel siégeant à la cour de Boumerdès. Les accusés, Z. I., 25 ans, et K. F., 26 ans, étaient poursuivis pour appartenance à un groupe terroriste armé, homicide volontaire et pose d’explosifs dans les lieux publics. Ils ont été arrêtés en juillet 2007, suite aux informations fournies aux services de sécurité par un repenti quant à leur implication dans les attentats perpétrés à l’époque dans la localité de Bordj Menaïel. Les inculpés ont été reconnus coupables d’avoir posé deux bombes près du centre-ville, dont l’une avait causé la mort d’un citoyen. Une autre personne, citée dans la même affaire, a écopé d’un an de prison avec sursis, tandis que quatre autres ont été acquittées. Le procureur de la République avait requis à leur encontre une peine de dix ans de prison ferme.  
Le producteur TV Djeloul  Beghoura, Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres Le  réalisateur et producteur algérien d’émissions  orientales à la télévision française, Djeloul Beghoura, a été distingué lundi  soir à Paris par le ministre français de la Culture Frédéric Mitterrand, qui  lui a remis l’insigne de Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres, lors  d’une cérémonie réunissant de nombreuses personnalités artistiques. Cette distinction récompense les personnes qui se sont illustrées par leurs créations dans le domaine artistique ou littéraire, ou par la contribution qu’elles ont apportée au rayonnement de la culture en France et dans le monde.
Argent gaspillé à l’Urbab de Blida L’Urbab de Blida semble battre tous les records en ce qui concerne l’instabilité de son staff dirigeant. Ainsi, et en moins d’une année, ce Centre d’études en urbanisme a connu trois présidents de son conseil d’administration. L’ex-directrice générale a été écartée en catimini, en dépit des résultats positifs de sa gestion. Sous la «contrainte», son contrat de travail de DG lui a été renouvelé pour une année. L’élection d’un PCA, autre que le signataire dudit contrat, a conduit celui-ci de manière insolite et arbitraire à refuser de l’exécuter. Cette position intrigante du président poussa cette infortunée à saisir la justice qui lui a donné gain de cause, en ordonnant l’exécution du fameux contrat avec une forte indemnisation. Mais on refuse toujours de la réintégrer, quitte à lui donner une somme faramineuse. Face à ce procès gagné et qui n’est pas le premier, toujours avec une indemnisation considérable, il semblerait que les décideurs de ce centre ne paraissent pas se soucier du préjudice financier qu’ils font subir à leur structure pour des histoires de pure animosité et/ou d’intérêts occultes.
La brigade économique enquête à Belouizdad La gestion sociale de l’APC de Belouizdad, relative au couffin du mois de Ramadhan, est entre les mains de la justice. En effet, depuis quelques jours, les services de la brigade économique  et des finances de la sûreté de la wilaya d’Alger, saisis de l’affaire, ont  diligenté  une enquête auprès des bénéficiaires de l’aide sociale. Ces derniers, relevant de la commune de Belouizdad dont les noms figurent sur la liste des bénéficiaires ont été convoqués au  Central pour témoigner sur procès-verbal si réellement ils ont perçu ces «aides sociales» qui remontent à plusieurs années. La prime du couffin s’élevait  à 8000 DA par peronne durant tout le mois de Ramadhan.
 
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