On vous le dit

-Enseignement de l’anglais... à l’américaine La sous-secrétaire d’Etat adjointe américaine à la diplomatie publique, Mme Greta Holtz, a souligné, avant-hier à Alger, l’intérêt de son pays d’établir un partenariat dans le domaine de l’éducation. La diplomate américaine a précisé que ce partenariat «consiste à faire bénéficier la partie algérienne de l’expérience américaine en matière d’enseignement de la langue anglaise ainsi que des technologies utilisées dans ce domaine aux Etats-Unis». De son côté, M. Benbouzid a fait part de la détermination de l’Algérie à œuvrer de concert avec les Etats-Unis dans le domaine de l’éducation dans l’intérêt des deux pays, soulignant que la partie américaine «a fait montre d’une volonté politique visant la consolidation des relations algéro-américaines».Les entretiens ont porté sur les moyens à même de consacrer ce partenariat et d’opérer un jumelage entre les établissements éducatifs algériens et américains. -Le cri d’alarme d’un hémophile Lahrassi Hakim, un jeune de 19 ans, originaire du village Mahfouda, dans la commune de Bouhamza, est atteint d’hémophilie, une coagulopathie d’origine congénitale affectant exclusivement le sujet de sexe masculin. «On a découvert ma maladie à l’occasion de ma circoncision. C’était en 1998», se souvient Hakim. Depuis, il traîne cette maladie comme un boulet de forçat qui l’expose à des hémorragies incoercibles et à des complications articulaires (hémarthrose). Ces complications n’ont d’ailleurs pas tardé à se faire jour, en l’absence d’une prise en charge médicale appropriée, puisque le genou gauche de Hakim est pratiquement sclérosé depuis plusieurs années déjà. Il en découle des douleurs atroces, doublées d’une impotence partielle. «Je suis contraint de me rendre trois fois par semaine au service des urgences de l’hôpital d’Akbou pour soulager ma souffrance par injection de facteurs de coagulation, hélas, ces médicaments ne sont pas toujours disponibles», lâche-t-il sur une pointe d’amertume.Même ses démarches entreprises pour subir une intervention chirurgicale dans une clinique algéroise se sont terminées en eau de boudin. En effet, soutient Hakim, après plusieurs déplacements éprouvants à Alger et en attendant une hypothétique prise en charge qui n’arrivera jamais, il s’entend dire que son dossier est «égaré»! -Djezzy valorise les prodiges algériens Du 19 octobre au 25 décembre, Djezzy lance une campagne de valorisation des jeunes talents intitulée «Prodiges».
L’objectif visé est de mettre en valeur le génie algérien où qu’il soit en Algérie, même dans les contrées les plus reculées. Prodiges est réservé aux personnes majeures résidant en Algérie ; les mineurs, quant à eux, devront obtenir une autorisation parentale ou d’un tuteur. Pour participer, le talent en herbe, ou confirmé, devra soumettre une création (vidéo, photo ou texte)  pouvant toucher tous les domaines d’expression : arts, sports, dance et autres aptitudes inédites. Le candidat ou postulant doit préalablement créer un compte sur le site www.djezzy.tv en complétant le formulaire de candidature. Tout formulaire incomplet, erroné ou illisible entraînera automatiquement la disqualification du candidat. Il doit ensuite déposer directement sa création par télétransmission en insérant un lien menant vers sa création sur le site entre le 19 octobre à 11 h et le 1er décembre à 23h 59.  Un jury désigné sélectionnera chaque semaine un prodige parmi les talents présents sur la plateforme. Les 50 prodiges primés par le jury verront leurs œuvres récompensées par différents prix. Ainsi, Djezzy l’opérateur citoyen participe à l’émergence du talent algérien en donnant à chacun sa chance de connaître la célébrité et les feux de la rampe.