Algérie

On vous le dit



-Une commune oubliée à Blida Le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme,  Noureddine Moussa, n’a pas cessé de faire des éloges à la politique officielle du logement lors de son déplacement dimanche  dans la wilaya de Blida. Le même ministre semble toutefois oublier qu’il y a des localités qui n’ont jamais ou rarement bénéficié de logements. La commune de Beni Tamou, située à 7 km au nord de Blida, peut alors constituer le bon exemple dans ce sens. Cette localité n’a bénéficié que d’un seul programme lié au secteur de l’habitat et n’a eu que 160 logements seulement et ce, depuis sa création en 1984.  Le comble est que 40 logements seulement étaient destinés aux habitants de Beni Tamou au moment où les demandes de logements ne cessent de s’accroître.

-Birtouta : Les habitants interpellent le Président Le célèbre titre de John Steinbeck pourrait bien s’appliquer à la situation créée par le P/APC de Birtouta. En effet, le maire a interdit aux deux cafetiers de la placette, si célèbre de la ville, de poser leurs chaises et tables sous les grands arbres millénaires. Depuis 150 ans, la terrasse des deux cafés est parmi les plus belles d’Algérie, mais les citoyens de Birtouta ne veulent pas rester les bras croisés. Ils ont déjà écrit au président de la République et au wali d’Alger. Cette placette, qui a vu la rencontre de Si M’hamed Bouguerra (chef de la Wilaya IV historique) et Souidani Boudjemaâ en 1950, ne peut-être fermée et interdite par une décision scélérate. Déjà, beaucoup de citoyens avancent leurs chaises jusqu’au milieu de la placette. Affaire à suivre ! -Le journaliste chahid Hadj Hamdi Ahmed ressuscité Enfin, les œuvres poétiques du chahid journaliste et poète Hadj Hamdi Ahmed ont été tirées de l’oubli. L’auteur des beaux poèmes populaires dédiés à la révolution de 1954, qui ont fait un grand tabac durant les premières années de l’indépendance, notamment le fameux H’zeb Thaouare chanté par Rabah Deriassa, entre autres, a été ressuscité. L’association   Flambeau du martyr a vu juste en tirant du fond des tiroirs les œuvres de cet illustre figure emblématique de la lutte armée en lui rendant, jeudi dernier, un vibrant hommage à la maison de la culture Hassan  Hassani de Médéa. En effet, tombé au champ d’honneur le 29 septembre 1960, à Takbou, (Médéa), Hadj Hamdi Ahmed, dit Arslan, est né le 28 septembre 1931. Diplomé de l’université de Zeïtouna de Tunis, il a semé, dès son retour à sa ville natale en 1955, les grains du nationalisme dans l’esprit des jeunes madersiens de l’école privée Zoubiria, en les incitant notamment à rejoindre la révolution armée. Acculé et emprisonné par les forces coloniales qui contrôlaient tous ses mouvements, il monte au maquis en 1956. En raison de son excellent niveau d’instruction malgré son jeune âge, les dirigeants du FLN lui confient la mission de journaliste-morched au sein de la Wilaya IV historique. Il est tombé au champ d’honneur à l’âge de 29 ans.

-Association des Médersiens : Lakhdar Brahimi se souvient Le président de l’Association des Médersiens, le professeur Aït Belkacem Mourad, invite les adhérents des trois médersas Alger, Constantine, Tlemcen à assister à la rencontre conviviale, en l’honneur de Lakhdar Brahimi, médersien, et ancien ministre des Affaires étrangères. Cette rencontre sera marquée par le témoignage de Lakhdar Brahimi intitulé «Souvenirs d’un médersien».
La manifestation aura lieu jeudi 29 septembre 2011, à 20h, au Bastion 23, Alger, près de l’Amirauté. Le parking est assuré au niveau de l’Institut national de musique. Cette rencontre sera suivie d’une collation.


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